Comme l’a fait remarquer le crypto-journaliste Grégory Raymond sur Twitter, malgré la grisaille du marché (et le découpage en règle des floor prices de ces collections), les grandes marques tirent leur épingle du jeu crypto : Nike occuperait par exemple la tête de ce grand classement où l’on retrouve aussi Adidas ou encore Dolce & Gabbana.
En effet, selon des données compilées sur Dune Analytics, Nike aurait tiré près de 185 millions de dollars des ventes de ses NFT et des commissions prélevées sur le marché secondaire lors des reventes de ses différentes collections.
Dolce & Gabbana, Tiffany ou Gucci font pâle figure face à ce record, même si les célèbres maisons de luxe ont pour leur part pu récupérer respectivement 25, 12 et 10 millions de dollars.
Du côté des projets français, citons Lacoste et ses NFT de crocodiles : le groupe français se classe à la dixième place parmi ses comparses et a récolté 1,1 million de dollars avec son initiative Web3.
Pour le reste, le marché NFT au sens large continue de faire grise mine : les volumes globaux sont faméliques et continuent patiemment de plonger, comme l’expliquait le récent rapport de NonFungible.
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