S’envoyer en l’air avec Bitcoin, Dogecoin et Ethereum, c’est désormais possible grâce à airBaltic

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airBaltic franchit enfin le pas – La compagnie aérienne lettone airBaltic accepte les paiements en bitcoins depuis 2014. C’est aujourd’hui autour des cryptos, comme l’ether et les stablecoins, de rejoindre la partie.

Les compagnies aériennes se mentent aux cryptomonnaies

Selon le communiqué de presse publié lundi par l’entreprise, ses clients vont pouvoir régler leurs billets d’avion en BCH (Bitcoin Cash), en ETH (Ethereum) et en DOGE (Dogecoin), mais aussi en stablecoins (GUSD, USDC, PAX et BUSD).

« En tant que compagnie aérienne innovante, nous nous efforçons d’améliorer sans cesse l’expérience client, en commençant par le processus de réservation. Au fil des ans, environ 1000 clients ont utilisé cette option de paiement, ce qui peut sembler moindre, mais offre néanmoins aux passagers une option de paiement unique difficile à trouver ailleurs. »

Martin Gauss, CEO d’airBaltic

L’ajout de ces nouvelles devises numériques pour les paiements a été rendu possible grâce à un partenariat avec Bitpay. Toutefois, les prix des billets ne seront pas directement affichés en crypto, mais bien en euro. C’est Bitpay qui se chargera alors de la conversion avant de soumettre la réversation à la compagnie. Enfin, l’option de paiement crypto ne sera disponible que pour les billets airBaltic GREEN, qui sont des billets low cost.

Le secteur du voyage et de l’hôtellerie semble enfin enclin à sauter le pas du paiement crypto. Actuellement, le leader du secteur est l’agence de voyages Travala, qui a construit un réseau de partenaires acceptant les paiements en actifs numériques. De plus, elle a lancé son propre token, l’AVA. Les clients qui en possèdent peuvent alors l’utiliser pour les réservations et bénéficier d’avantages supplémentaires.

Les acteurs touristiques et hôteliers ont beaucoup souffert en raison de la pandémie. Cependant, ces entreprises ont besoin de repenser leurs modèles économiques afin de rester compétitives, et l’utilisation de la blockchain pourrait être la solution salvatrice. Malheureusement, airBaltic a clairement fait comprendre qu’elle ne comptait pas recevoir directement de cryptomonnaies, contrairement à Tesla.

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Thomas G.

Financier et juriste, je suis passionné par les cryptomonnaies depuis leur apparition sur le Deepweb. Fervent supporter du Bitcoin, je suis convaincu que les devises numériques joueront un rôle déterminant dans l'avenir de nos sociétés. Je m'intéresse tout particulièrement aux aspects financiers et législatifs des cryptomonnaies.

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