L’Iran compte sur les cryptos pour échapper aux sanctions internationales

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Bitcoin déjà utilisé comme monnaie d’échange – Bitcoin a été créé en 2009 dans le but de fournir un moyen d’échange monétaire incensurable. Près de 13 ans plus tard, la promesse faite par Satoshi Nakamoto semble se réaliser. La République Islamique vient d’officialiser l’usage des cryptomonnaies pour le commerce international. Comme nous vous le rapportions il y a quelques semaines, une transaction en Bitcoin a déjà été réalisée. Téhéran semble vouloir accélérer les choses, et embrasser l’incensurabilité du BTC et de son réseau.

Satoshi Nakamoto : attrape Bitcoin si tu peux

Début août, l’Iran avait déjà officialisé un échange commercial réglé en Bitcoins. Les cryptomonnaies commencent à trouver et (prouver) leurs cas d’usage. Il y a quelques mois, Bitcoin permettait à deux journalistes d’acheter une voiture pour traverser l’Ukraine et couvrir le conflit.

Le Ministre iranien chargé de l’industrie vient de dévoiler que les importations pouvaient désormais être payées en cryptomonnaies. Les entreprises locales peuvent également faire importer des voitures grâce aux cryptos, afin de contourner les sanctions. En effet, l’Iran est sous embargo international et ne peut utiliser des euros ou des dollars librement.

Les esprits chagrins reprocheront que cet usage aide à contourner des sanctions internationales, mais nous leur rappellerons le principe de neutralité de la technologie. Neutralité régulièrement mise à mal dans le secteur crypto, le dernier exemple étant l’arrestation d’un développeur de Tornado Cash.

Bitcoin est résistant et résilient. Demain ou dans quelque temps, vous serez content d’en avoir acheté pendant la crise. Ne tardez pas trop pour profiter des conditions d’achat actuelles, et économisez encore 10% sur vos frais de trading en suivant ce lien ! Courez vous inscrire sur Binance, LA référence absolue des exchanges cryptos (lien commercial).

Jeff Makvs

Enfant d’internet, j’essaie de me coucher chaque soir moins bête que la veille, notamment en observant la blockchain et ses acteurs. Je me réjouis de partager mes découvertes dans cet écosystème fascinant et avant-gardiste dès que j’en ai l’occasion : avant j’écrivais dans mon journal, maintenant j’écris dans le vôtre !

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