Uniris : cette start-up française est-elle en train de réinventer la technologie blockchain ?
La société française Uniris s’est fait connaître en proposant un procédé d’identification unique, basé sur le réseau veineux des doigts. Cependant, la technologie blockchain de nouvelle génération qui supporte ce futur standard de sécurité a mené les ingénieurs sur des sentiers bien loin de la norme admise dans le domaine : changement d’échelle, de vitesse, de fiabilité, open source, intégration native de la reconnaissance biométrique et de capacités programmatiques. Ce sont de nouveaux horizons qui sont explorés par nos tricolores.
Ce réseau original, dont le Mainnet a été lancé le 5 juillet, présente une liste impressionnante de brevets, d’innovations, et de potentialités qui pourraient bien en faire un outsider providentiel, capable d’initier l’adoption mondiale et globalisée que nous attendons tous.
Cet article promotionnel vous est proposé en collaboration avec Uniris.
Uniris bouscule la norme pour passer à la vitesse supérieure
Uniris a pour objectif de remplacer applications et services grâce à un écosystème en devenir, complet et ouvert. S’identifier ou payer sur Internet sans compromettre ses informations personnelles, ouvrir la porte de son domicile ou de sa voiture, avoir toujours à disposition son dossier médical, les possibilités semblent démesurées.
Afin de se soustraire à la contrainte d’une chaîne unique composée de blocs émis les uns après les autres, les développeurs ont exploré une solution totalement inédite : les blocs sont en réalité les transactions. Cette simple évolution peut être considérée comme une véritable révolution, et fait d’Uniris la première “Transaction Chain”.
Sur le réseau Uniris, chaque transaction est un bloc, réduit à son expression « atomique » et contenant ses propres clés de validations ainsi que la signature du dispositif qui génère la transaction. Un gain de vitesse, d’énergie et de prix considérable en comparaison de ce qui se fait de mieux actuellement dans le domaine. Cette approche permet de procurer à la « transaction chain », un ensemble d’attributs inédits lui conférant des capacités hors-normes.
Avec pour ambition de conquérir une place concrète et centrale dans notre quotidien, les smart-contracts UNIRIS contenus dans les transactions se veulent d’une simplicité enfantine à déployer et très pratiques à l’usage. Ceux-ci sont en effet autonomes (pas besoin de services externes pour les déclencher), évolutifs (on peut les mettre à jour une fois déployés), et interprétables directement par les mineurs.
Un protocole durable, évolutif, sûr et inclusif
Pour ce faire, la compagnie s’appuie sur un nouveau consensus de validation incassable, capable de respecter mais surtout d’étendre le postulat d’origine de la technologie blockchain : redonner à chacun le contrôle sur ses capitaux, sur la technologie et sur ses données personnelles en se passant de tiers de confiance imposés par les systèmes centralisés (Facebook, Google, Amazon, banques … ).
Ce protocole, imaginé pour permettre l’adoption massive, se nomme ARCHE (acronyme de Atomic Rotating Commitment Heuristic). Décortiquer le terme permet de mieux en comprendre le fonctionnement :
- Validation Atomique (Atomic Commitment) : Forme de consensus qui implique 100% de réponses positives et concordantes, ou le refus de la validation de la transaction.
- Rotatif : Le réseau étant entièrement distribué, les nœuds élus pour chaque opération changent en permanence. Ainsi, il est impossible de prédire quels nœuds seront élus avant l’arrivée d’une transaction.
- Heuristique : Ensemble des algorithmes, des logiciels et des paramètres qui gèrent l’intégralité du réseau permettant par exemple à ce dernier d’élire de façon coordonnée et décentralisée les nœuds en charge de la validation et du stockage des chaînes de transactions.
Uniris n’est plus seulement une technologie d’identification permettant de donner à vos doigts les mêmes propriétés que la puce d’une carte bancaire. Cette accessibilité totale et sécurisée a en effet été le prétexte au développement d’une « Transaction Chain » éponyme totalement repensée, afin de proposer une décentralisation jusqu’ici inégalée.
Affichant des performances de 1 million de transactions par secondes, un temps de validation inférieur à 5 secondes pour un prix anecdotique de 0,1% du montant de la transaction, le risque de corruption est réduit à 0,0000001% même en présence de 90% de nœuds malicieux. Bouquet final, la consommation énergétique est 3,6 milliards de fois inférieure à une validation sur le réseau Bitcoin.