Dogecoin, la crypto écolo ? Le DOGE se met au vert

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Musk et DOGE font la paire – Cela fait maintenant un bon moment qu’Elon Musk s’intéresse à Bitcoin (BTC), mais aussi beaucoup à Dogecoin (DOGE), son petit préféré chez les cryptos. Il semblerait que ce soit au point que le CEO de Tesla et de SpaceX (et de Twitter) ait voulu donner un coup de main aux équipes du mèmecoin au souriant chien Shiba.

Dogecoin émet désormais -25% de CO2 : l’effet Elon Musk ?

En mai 2021, Elon Musk avait proposé son aide pour améliorer Dogecoin, notamment pour « améliorer l’efficience des transactions » sur le réseau DOGE. Et, force est de constater que, un peu plus d’un an et demi plus tard, le mèmecoin semble réellement avoir diminué son empreinte carbone.

Selon une récente publication de Forex Suggest, les émissions de CO2 de Dogecoin auraient même très significativement baissé, passant de 1 423 tonnes d’émissions en 2021, à 1 063 tonnes en 2022. Soit une belle diminution de plus de -25 % selon la publication.

D’après Forex Suggest, il ne faudrait ainsi plus que planter 5 313 arbres pour compenser l’empreinte carbone de toutes les transactions de Dogecoin effectuées l’année. Contre un besoin estimé de 7 117 arbres l’année précédente.

Dogecoin moins « polluant » grâce à Elon Musk ?
Dogecoin aurait rejeté 25% de CO2 en 2022 qu’en 2021.

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Une course à la plus faible émission GES par transaction ?

Étant donné que, au moment d’écrire ces lignes, le principal intéressé ne s’est pas encore exprimé sur le sujet, il est difficile de définir l’importance exacte du rôle d’Elon Musk dans cette réduction des gaz à effets de serre (GES) émis par le réseau Dogecoin. Mais, rappelons que le patron de Tesla avait clairement exigé un prérequis écologique comparable à Bitcoin en mai 2021, pour de nouveau vendre ses voitures électriques contre des BTC.

Et, beaucoup de projets de cryptomonnaies se sont depuis lancés dans cette course, quasi imposée, à celui qui « polluera » le moins. Par exemple, pour Dogecoin, l’énergie utilisée par transaction (en kilowatt-heure) est estimée à 0,12 kWh.

Mais certains ont changé du tout au tout, et principalement Ethereum (ETH) bien sûr. Avec son passage d’un consensus basé sur la Preuve de travail (PoW) à celui basé sur la Preuve d’enjeu (PoS), le réseau de Vitalik Buterin a diminué de plus de 99,9 % sa consommation d’énergie. Au point que l’énergie dépensée par transaction est passée de 62,56 kWh à seulement 0,03 kWh.

Si l’amélioration de l’efficience doit bien sûr être recherchée, elle ne doit pas se faire au sacrifice de tout le reste. Outre le risque de ploutocratie dans les votes de gouvernance des projets en PoS (les plus riches possesseurs de tokens ayant plus de poids de vote), ce modèle de validation des transactions à provoquer des problèmes de censure sur le réseau Ethereum. La décentralisation et la sécurité des transactions ont un coût (énergétique), et ce dernier ne peut pas être réduit à l’infini.

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Rémy R.

Issu d’une formation universitaire en Sciences, je m’intéresse aux blockchains et à Bitcoin depuis 2013 et en ai même miné à l’époque. La bulle qui s'en est suivie m'en a détourné, mais je m'y suis replongé depuis 2017 et les étudie depuis avec passion.

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