Aleph.im (ALEPH) et Request Network (REQ) transforment les paiements : et si tout le monde acceptait les cryptomonnaies ?

Aleph.im est une plateforme Cloud distribuée, permettant aux projets blockchain partenaires de stocker leurs données informatiques, fichiers et base de données de manière décentralisée. L’entreprise annonce dans un communiqué son partenariat avec Request Network (REQ), entreprise spécialisée dans les services de facturation.

Ce contenu promotionnel vous est proposé en collaboration avec Aleph.im

Un service de facturation décentralisé

Aleph.im offre un accès entre le réseau IPFS dédié à Request Network et l’IPFS du réseau public ou les données de facturation et transaction peuvent être sauvegardées. Cette sauvegarde assure une sécurité optimale des données, mais aussi une décentralisation accrue pour le protocole Request Network.

Cette dernière entreprise, bien connue de l’écosystème crypto, coopère avec les géants du secteur tels que Maker, Gnosis, Aave, Ocean et la Near Foundation. Request se positionne au cœur de leurs flux financiers, et joue un rôle tout particulier dans la réception et émission de paiements.

Request Network sert aussi l’écosystème DeFi : des développeurs de smart contract en passant par les auditeurs, jusqu’aux membres de leurs communautés. Les projets utilisent Request pour soumettre leurs factures et être automatiquement payés en crypto.

« Nous sommes honorés de pouvoir supporter Request Network dans leur démarche de sécurisation et d’accessibilité de services de facturation. Stocker ses données de façon décentralisée et sûre est juste un exemple des capacités d’Aleph.im, et nous sommes impatients d’explorer d’autres cas pratiques pour les entreprises au sein de notre réseau »

Jonathan Schemoul, CEO de Aleph.im

Des bénéfices conséquents

Aleph.Im a pour objectif d’optimiser l’utilisation de l’internet décentralisé en permettant à quiconque, de stocker ses données sans passer par une entité centrale. Grâce à ses 48 nœuds actifs et l’annonce récente d’un partenariat d’ampleur avec Delchain, Aleph.im réparti toutes les données cumulées au travers des nœuds de son réseau. Ce mécanisme permet de garantir un stockage de données incensurable, inarrêtable et fluide. A ce jour, 8114 fichiers sont stockés par Request Network au sein du réseau Aleph.im

« Nous prouvons que chacune de nos factures est unique grâce au code. Tout le monde peut de ce fait, gérer et s’assurer de la source des données. Cette possibilité laisse envisager de nouveaux horizons pour l’industrie de la facturation, d’une valeur de plusieurs milliards de dollars »

Christophe L, Co-Fondateur de Request Network

Il existe en effet de nombreux avantages dans l’utilisation de la technologie blockchain au sein de l’industrie comptable:

• Une meilleure sécurité : grâce au chiffrement, la technologie blockchain assure qu’aucune information sensible ne puisse fuiter
• Une accessibilité améliorée : le chiffrement facilite le transfert de données, rendant fluide l’envoi et la réception de documents en interne et externe
• Capacité d’audit : Un système de facturation basé sur la blockchain ne requiert aucun audit de longue haleine. Le réseau est naturellement programmé pour respecter les règles fixées en amont.
• Réduction des silos : il est désormais facile et sûr de partager des documents à l’extérieur de son entreprise.

De nombreuses firmes vont profiter d’un avantage concurrentiel considérable en utilisant la technologie blockchain pour stocker leurs données de facturation. Elles pourront profiter de l’utilisation de smart contracts et d’escrow pour optimiser leur utilisation. Les progrès liés à la gestion des flux financiers engendrent une fluidité accrue dans les chaînes logistiques, ainsi qu’une gestion et automatisation améliorée des entrepôts.

Aleph.im peut se placer comme l’un des principaux initiateurs de cette évolution, et les cas pratiques liés à son réseau sont bien plus vastes. L’objectif principal de Jonathan Schemoul reste l’atteinte d’une décentralisation totale des entreprises liées au mouvement DeFi, qui restent encore trop vulnérables aux entités centrales.