Retour sur l’enjeu des liquidités au sein du marché des cryptomonnaies

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Bien souvent comparé à la future réserve de valeur 2.0, bitcoin et sa capitalisation de 200 milliards de dollars font pâle figure devant les marchés traditionnels. L’or, du haut de ses 9 trillions de dollars, rappelle à quel point l’industrie des cryptomonnaies est une classe d’actifs naissante. 

Supposés propulser Bitcoin au-delà des 20,000 dollars, les acteurs institutionnels font face à un véritable dilemme. Comment prendre une position pérenne au sein d’une classe d’actifs prometteuse, mais sous-capitalisée ? bitFlyer est à l’origine d’une nouvelle proposition qui pourrait améliorer le flux de liquidités et, de facto, bénéficier aux investisseurs de tous bords.

Ceci est un article promotionnel rédigé en collaboration avec bitFlyer.

Le nerf de la guerre porte un nom

Même si l’institutionnalisation du marché des cryptomonnaies est un sujet qui porte à débat, le flux de liquidités en provenance des particuliers s’est tari après le pic de 2017. Si jamais les cryptomonnaies devaient revivre une phase haussière digne de ce nom, il faudra surement compter sur les investisseurs institutionnels.

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L’entreprise MicroStrategy et son acquisition de 38 250 bitcoins ont fait renaître la flamme. Bien plus que cela, cette prise de position est riche en enseignement sur la manière dont un acteur institutionnel peut s’introduire au sein d’un marché sous-capitalisé.

Alors que nous pensions que Michael Saylor, CEO de MicroStrategy, privilégierait le recours à l’OTC pour parvenir à ses fins, il a dû en grande partie s’appuyer sur les plateformes d’échanges réservées aux particuliers afin d’acquérir l’équivalent de 400 millions de dollars en bitcoins. Il a cumulé 24 h/24 et 7 jours/7 des fractions de BTC durant près de 3 semaines.

bitFlyer fait aujourd’hui un grand pas en avant pour accueillir le futur flot d’investissement nécessaire à l’adoption de masse. Détenant, 20 % des volumes de trading au Japon, elle vient d’opérer un changement d’envergure qu’elle a intitulé « Cross Border Platform ». Elle va permettre à ses utilisateurs français d’opérer sur une plateforme intégrant les volumes globaux, améliorant drastiquement leur accès aux liquidités.

Certaines plateformes ont déjà franchi le pas. Cependant, combien d’entre elles sont réellement dans la légalité? L’expérience que vient de vivre Bitmex doit servir de leçon. Les fonds présents sur les échanges centralisés peuvent être mis en danger à tout moment, s’ils n’obéissent pas aux législations locales. bitFlyer a depuis bien longtemps construit ses infrastructures pour être en adéquation avec les souhaits des régulateurs.

Quid d’une liquidité « optimale »

Comme le décrit si bien Andry Bryant, COO de bitFlyer, l’annonce de cette nouvelle fonctionnalité « cross border » est un réel tournant pour l’entreprise et tout crypto trader qui se respecte:

« bitFlyer offre tout simplement à ses utilisateurs l’opportunité sans précèdent de trader dans l’un des marchés les plus liquides au monde. Les traders les plus avertis sont conscients de l’importance des liquidités, et cet élément est le facteur numéro 1 du choix de leur plateforme. »

En effet, la présence de liquidité substantielle est une donnée cruciale. Définie par la facilité avec laquelle un utilisateur peut échanger un actif numérique contre un autre sans en affecter le prix, la notion de « liquidité optimale » serait incomplète sans considérer les facteurs suivants :

  • La stabilité : plus un marché est considéré comme liquide, plus la vente et l’achat de bitcoins sont faciles. Un nombre de traders important seront prêts à vendre ou acheter un actif au même moment, permettant d’éviter un phénomène de slippage conséquent ;
  • La résistance à la manipulation : le marché des cryptomonnaies n’est pas considéré comme une jungle par hasard. Les manipulations de marché sont devenues monnaie courante dans un contexte où la décentralisation implique l’absence de normes. Si le manque de scrupule et l’avidité restent les facteurs inhérents à ce phénomène, le manque de liquidités le rend possible ;
  • La durée de transaction : dans une configuration de marché liquide, les ordres d’achat et ventes$ sont réalisés en quelques fractions de seconde, améliorant par la même occasion l’expérience de l’utilisateur. Sur les plateformes les moins fournies en liquidités, la revente d’un actif peut prendre une éternité, devant le manque de demande ou d’offre ;
  • L’analyse technique : la validité d’une analyse technique est dépendante des liquidités présentes sur la plateforme prise en considération. Lorsque les spreads sont rendus faibles par une forte présence de liquidité, l’analyse technique permet d’être effectuée avec précision.

Alors que bon nombre de plateformes d’échanges se concentrent sur le listing de projets exotiques, bitFlyer privilégie l’aspect fondamental de l’accès aux liquidités. Cette stratégie qui consiste à réunir les traders du monde entier au sein d’une même et unique plateforme est un réel challenge, tant l’aspect régulateur doit être considéré avec la plus grande des attentions.

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Cette stratégie de développement, bien qu’éprouvante, fait de bitFlyer une plateforme de choix pour les traders européens. Cumulant un volume quotidien excédant les 30 millions de dollars, elle figure comme l’une des options de prédilection pour les utilisateurs français, à la recherche de sécurité et d’un environnement de trading propice aux débutants et aux institutionnels.

Josselin A.

Finance décentralisée, Souveraineté monétaire, Géopolitique. Twitter: @SweetGold9

Commentaires

Une réponse à “Retour sur l’enjeu des liquidités au sein du marché des cryptomonnaies


oscar2000
parler de milliard et de trillion dans le même paragraphe n'a aucun sens. on ne sait pas de quoi on parle. milliard fait référence à l'échelle longue des francophones et n'existe pas dans dans l'échelle courte des anglophones. on aurait donc tendance à croire que l'auteur utilise l'échelle longue. le problème est que le trillion de l'échelle longue vaut un million de trillion de l'échelle courte... de quoi parle l'auteur ? échelle longue : million - milliard - billion - billiard - trillion - trilliard... échelle courte : million - billion - trillion... si l'auteur n'arrive pas à être clair là dessus, on peut légitimement se poser la question à chaque fois "il se trompe d'un facteur mille ou d'un facteur un million ? ou est ce que par hasard il a juste ?"
Répondre · Il y a 4 ans

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