SOS d’un investisseur en détresse : Bitcoin (BTC) au secours !

Pris dans leur vaisseau de dette, les particuliers luttent, mais les banques les ramènent, en pièces jaunes, vers les guichets… L’inflation est au cœur de l’actualité. Pas un jour ne passe sans que les médias traditionnels n’évoquent à quel point le pouvoir d’achat est érodé. Alors, forcément, partout en Europe, les particuliers tentent de sauvegarder leur épargne et leur patrimoine. Un combat qu’il n’est pas facile de gagner lorsqu’on choisi de le disputer en suivant les règles de la finance traditionnelle…

Comme un fou va jeter à la banque, des billets vides et puis espère…

Tous les pays du monde et même d’Europe n’offrent pas des livrets bancaires réglementés à taux fixe. S’il est possible en France de « mettre à l’abri » une somme d’argent confortable en remplissant son Livret A et son LDDS (dont les plafonds sont respectivement fixés à 22 950 € et 12 000 €) pour obtenir un rendement qui, suite à la hausse des taux directeur, atteint maintenant les 3 %. Tous nos voisins ne bénéficient pas de produits d’investissements aussi facilement accessibles et, théoriquement, sécurisés.

Rappelons en passant que les livrets d’épargne réglementés sont garantis par l’État et qu’il est donc, sauf faillite étatique, théoriquement impossible de voir disparaitre les fonds qui y sont placés. Votre serviteur reviendra bientôt sur le mécanisme de protection des dépôts bancaires qui est une vaste blague. Mais, revenons à nos moutons.

bouteille à la mer lancée par les particuliers pour sauver leur épargne

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La dette étatique, seul refuge proposé à de nombreux épargnants

Au Portugal ou en Espagne par exemple, le placement le plus fiable offert aux particuliers réside dans l’acquisition de la dette du pays auprès de la Banque Centrale. C’est-à-dire par la souscription d’obligations.

Raison pour laquelle, suite à la hausse des taux, ces dernières sont prises d’assaut par les particuliers qui tentent de sauver leurs économies de l’inflation venue les grignoter. Certains voient naïvement en ces placements une bouée de sauvetage tendue par les États :

« On ne veut pas risquer les efforts et la sueur de toute une vie. Ça, c’est du bon pas comme les bitcoins ! »

Bien entendu, si vous avez regardé Titanic, vous savez qu’il n’y a pas de place pour tout le monde sur cette fichue planche en bois.

La plupart des investisseurs particuliers ont bien conscience que le rendement apporté par ces bons du Trésor national (qui frôle les 3% actuellement en Espagne) est loin de compenser l’inflation subie (5,8% aux dernières nouvelles).

En investissant leurs économies dans la dette de leur pays, les Espagnols parviennent à obtenir un rendement réel négatif de -3% en lieu et place des -5,8% que génère l’inflation.

Au Portugal, les taux servis par les obligations d’État frôlent les 4 %, ce qui implique là encore une ruée des investisseurs vers ce véhicule d’investissement.

Mais, est-ce vraiment si peu risqué ? Et est-il si judicieux de placer son épargne pour acheter la dette d’un Etat dont la politique est à l’origine de l’érosion de cette même épargne ?

Et ils courent, ils se raccrochent à la dette…

De nombreuses personnes vantent les mérites de ces obligations d’Etat en tant qu’investissement non-risqués.

Pourtant, même s’il est évidemment correct de dire que les obligations sont moins risquées sur les actions ou autres valeurs mobilières plus volatiles, il importe de bien comprendre ce qu’est une obligation.

Une obligation est une dette, en l’achetant, vous prêtez de l’argent à l’Etat qui s’engage à vous le rembourser à une certaine date et selon des conditions financières fixées à l’avance (le taux). Une fois que vous avez investi, vous détenez un titre de créance à l’encontre de l’Etat, devenu votre débiteur.

Comme ces obligations sont négociables, vous pouvez les céder à un tiers qui va vous les racheter avant la date d’échéance. Ce qui rend ces placements relativement liquides.

Lorsque les taux directeurs des banques centrales augmentent, les obligations nouvellement émises rémunèrent plus fortement les prêteurs qui vont alors arbitrer en mettant en parallèle le ratio rendement/risque qu’offre des actifs volatiles (actions, cryptos) contre des actifs dits « non-risqués » tels que les livrets d’épargne ou les obligations d’Etat. Il en résulte que plus les taux sont élevés, et moins les investisseurs sont incités à investir sur des actifs plus volatils, ou jugés plus risqués.

Les Lannister paient toujours leurs dettes, mais pas les États

Cela étant, prêtez à l’Etat nécessite de faire confiance à l’Etat. Celui-ci étant un créancier comme un autre, il lui est possible de faire défaut.

En réalité, la quasi-totalité des Etats du globe se sont déjà retrouvés au moins une fois en situation de défaut de paiement.

Or, de la même manière que les créanciers d’une société sont les premiers touchés lors de sa disparition/liquidation de la société, les détenteurs de dette étatique sont les premiers à souffrir d’un défaut souverain.

Si les défauts souverains récents n’ont pas concerné de pays de la zone Europe, sept Etats ont failli à rembourser leurs dettes depuis 2020 : la Russie (cas un peu particulier), le Sri Lanka, Le Bélize, la Zambie, le Suriname, L’Equateur, l’Argentine et le Liban. Si l’on remonte quelques années en arrière, la Grèce n’avait pas pu rembourser en 2015 une dette d’un milliard et demi d’euros au FMI.

Ce particulier triste dans le froid lutte avec amertume contre l'inflation, et sa banque ne l'aide pas.
Un particulier qui lutte âprement contre l’inflation

Protéger son patrimoine en choisissant la monnaie dure plutôt que les dettes faciles

Outre le fait que prêter son argent à un État dont l’irresponsabilité monétaire se trouve être à l’origine de l’érosion de la valeur de cette même monnaie me parait pour le moins douteux. La protection d’un patrimoine devrait se faire en choisissant l’anti-fragilité, en choisissant de lutter contre la machine à dette plutôt que de lui fournir à nouveau du carburant.

En d’autres termes : quel est, ou quels sont les actifs les plus à même à conserver de la valeur dans le temps et à permettre de battre l’inflation ?

Quelle solution pour lutter contre l'inflation ? Bitcoin semblerait en être une pertinente

La réponse à cette question est plutôt simple. Seuls des actifs « durs » , c’est-à-dire difficile à produire et dont la masse et le volume global varient très peu. La crise du Covid l’aura bien montré, les monnaies FIAT peuvent être imprimées à l’infini et sans concertation préalable de la population. Si elles peuvent être un medium monétaire relativement satisfaisant en matière d’échanges, elles ne le sont plus du tout lorsqu’il est question de réserve de valeur.

L’or et l’argent constituent des monnaies dures sur le plan physique. Au même point que la politique monétaire propre au protocole Bitcoin fait de lui la proposition de monnaie dure la plus sérieuse du monde digital.

Si le cours de l’or à quasiment doublé au cours des vingt dernières années. Il va s’en dire qu’il n’en a pas été de même pour la valeur de nos monnaies nationales. Qu’il s’agisse du dollar ou de l’euro, toutes les monnaies étatiques s’érodent continuellement.

Même si bitcoin est un actif encore fortement volatile, il n’aura échappé à personne que ses performances offrent à ses détenteurs sur le long terme une protection efficace contre l’inflation.

Dans un monde rationnel où la bonne monnaie vient chasser la mauvaise, les monnaies FIAT devraient théoriquement disparaitre et emporter avec elles les produits offrant un rendement qui ne permet pas de combattre l’érosion de leur valeur. Raison pour laquelle il faut attendre une réaction forte des États lorsqu’ils comprendront qu’ils sont pris au piège de leur propre politique. Iront-ils jusqu’à confisquer vos cryptos ?

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Recktosaurus

Transfuge du monde bancaire, littéralement diplômé en droit des affaires, j'ai appris que Bitcoin était l'école de la liberté. Attentif à la défense de nos droits individuels et passionné par les nouvelles technologies, j'aime créer du contenu sous toutes les formes possibles.