IBM : un contrat de développement blockchain de $740 millions avec l’Australie

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International Business Machines, alias IBM, une des sociétés informatiques les plus connues au monde, a déjà montré à maintes reprises son intérêt pour les blockchains.

Après l’annonce de la création de 1800 emplois en France, dans les domaines de l’intelligence artificielle (IA), de la blockchain et de l’Internet des objets (IoT), puis son rapprochement avec la Stellar (XLM), le géant technologique IBM a donc signé un important contrat relatif à la blockchain avec le gouvernement australien. Cet accord quinquennal de 1 milliard de dollars australiens (740 millions de dollars US) permettra à IBM de devenir un partenaire technologique privilégié du gouvernement australien au cours des cinq prochaines années.

Comme le rapporte Bloomberg, avec cet important contrat, IBM va fournir des technologies portant sur la blockchain, mais aussi sur l’automatisation et l’intelligence artificielle (IA), aux autorités du pays. Plusieurs ministères du gouvernement australien en bénéficieront, notamment les départements de la Défense et des Affaires intérieures. Ces améliorations technologiques concerneront également la protection des données des citoyens australiens, ce qui devrait permettre de faire économiser 100 millions de dollars aux contribuables du pays.

Dans ce cadre, Harriet Green, responsable d’IBM pour l’Asie-Pacifique, a déclaré à Bloomberg que ce nouveau partenariat permettra aux citoyens d’accéder aux « plus grandes technologies du monde (…) à travers de nombreuses agences gouvernementales ».

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Avec des contrats de plusieurs centaines de millions de dollars conclus entre de grandes sociétés multinationales comme IBM, et des autorités gouvernementales, reste-t-il encore des sceptiques quant à l’avenir des cryptomonnaies et de la technologie des blockchains ? En reste-t-il encore pour dire que cela ne servirait qu’à des activités illégales ? Malheureusement il doit en rester encore, mais ils devraient logiquement se faire de plus en rares (et discrets, le « ridicule » changeant de camp).

Sources : Bloomberg ; CoinTelegraph ; Bitcoinist || Image from Shutterstock

Rémy R.

Issu d’une formation universitaire en Sciences, je m’intéresse aux blockchains et à Bitcoin depuis 2013 et en ai même miné à l’époque. La bulle qui s'en est suivie m'en a détourné, mais je m'y suis replongé depuis 2017 et les étudie depuis avec passion.

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