« Il n’y a que Bitcoin qui offre un tel potentiel délirant de hausse » : Ce milliardaire lâche une bombe
Un fan convaincu de Bitcoin – Il y a peu, l’analyste financier Bill Miller nous avait annoncé que Bitcoin représentait de « la mort aux rats » pour les monnaies fiduciaires. Il réitère aujourd’hui son optimisme, et voici dans cet article un petit extrait de ses compliments envers le roi des cryptos.
Son fonds d’investissement parie sur Bitcoin… via MicroStrategy !
Le supposé milliardaire Bill Miller vient de publier une nouvelle lettre aux investisseurs de son cabinet d’analyse financière Miller Value Partners.
Bill Miller justifie dans cette lettre un de leurs achats les plus récents : les obligations convertibles de la société MicroStrategy.
Pour rappel, l’entreprise cotée au Nasdaq a émis une dette de 550 millions de dollars en obligations, afin d’acheter toujours plus de bitcoins (BTC). Bill Miller explique ainsi à ses investisseurs que :
« Nous avons été particulièrement intéressés lorsque Michael Saylor [le PDG de MicroStrategy, ndlr] a annoncé que son entreprise mettrait tout son argent dans une technologie que nous soutenons depuis longtemps : Bitcoin (…). »
MicroStrategy vient d’ailleurs tout juste d’acquérir encore plus de bitcoins, cumulant un total hallucinant de 70 784 BTC (soit environ 2,2 milliards de dollars).
Mais pourquoi cette fascination pour Bitcoin de la part du cabinet d’investissement de Bill Miller ?
« La réponse courte est qu’il n’existe aucun autre actif qui combine la liquidité de Bitcoin avec son potentiel de hausse. Bitcoin est encore une technologie émergente dans un énorme marché désormais bien accessible, et il possède un protocole brillant et logiquement cohérent avec la gouvernance distribuée. »
Bill Miller démonte point par point les objections à Bitcoin
Le multimillionnaire se livre ensuite à un abattage en règle des « objections » que l’on peut opposer au roi des cryptomonnaies.
Par exemple, au plus bête des arguments qui est de dire que Bitcoin « ne produit rien et n’a donc aucune valeur intrinsèque », Bill Miller répond :
« Ce qu’il « produit » est la capacité de stocker et de transmettre de la valeur selon un algorithme logique prédéterminé et une gouvernance décentralisée. La valeur de tout actif qui ne rapporte aucun dividende, comme l’action Berkshire Hathaway ou le dollar américain, est ce que les acheteurs et les vendeurs pensent collectivement qu’il vaut. Avec une capitalisation boursière actuelle de 700 milliards de dollars, les acheteurs et les propriétaires de Bitcoin estiment qu’il a plus de valeur que toutes les [500] entreprises de l’indice S&P500, sauf les six plus grosses. »
De même, à ceux qui s’inquiètent des régulateurs qui commencent à montrer les crocs partout autour de la planète, l’analyste financier explique que :
« [Bitcoin] a fonctionné pendant douze ans avec peu d’interférences réglementaires, sous de multiples administrations. En fait, les perspectives réglementaires pour Bitcoin aux États-Unis n’ont jamais été aussi favorables, ce qui peut expliquer pourquoi tant d’institutions s’impliquent maintenant. (…) Le gouvernement américain perçoit des impôts sur les plus-values de Bitcoin et en a mis aux enchères pour plus de 6,5 milliards de dollars à la valeur marchande actuelle (…). »
On voit en effet mal un État être assez stupide pour tenter de tuer une telle poule aux œufs d’or fiscale.
N’hésitez pas à consulter la version intégrale de la lettre de Bill Miller pour le voir descendre en flamme les autres contre-arguments habituels à Bitcoin. Cet enthousiasme prouve aussi que les rangs des adeptes du roi des cryptomonnaies grossissent de plus en plus, attirant chaque jour l’intérêt de nouveaux investisseurs renommés et de dirigeants de grandes sociétés.