Bitcoin le 25 avril 2022 – Rien de bon dans ce rebond ?
Solide ou toujours pas ? Bitcoin (BTC) débute la dernière semaine du mois d’avril 2022, avec une hausse qui pourrait s’avérer cruciale, ou n’être au final qu’une simple incursion sans importance. L’affaiblissement du billet vert pourrait être le signal tant attendu par les taureaux.
Bitcoin au-dessus des 40 000 $ : simple rebond correctif ?
Le prix du bitcoin remonte au-dessus des 40 000 $ aujourd’hui, 25 avril 2022. Bitcoin se négocie à 40 128 $ au moment de la rédaction de cet article, et enregistre actuellement un gain quotidien de 1,53 %.
La hausse actuelle est-elle suffisamment solide ou cette reconquête des 40 000 $ sera-t-elle de courte durée ? Alors que bitcoin se négociait encore sous les 40 000 $, le trader Michaël van de Poppe a émis des perspectives haussières, et ce bien que « que tout le monde » ait eu « peur d’une nouvelle pression à la baisse ».
Michaël van de Poppe a souligné la solidité de la zone de support aux environs des 37 000 $ – 39 000 $. Il estimait alors que le balayage des prix planchers dans cette fourchette « serait un déclencheur potentiel pour un certain élan vers le haut ».
Michaël van de Poppe se demande en outre s’il est temps pour le dollar (DXY) « de corriger ». Il revient ainsi sur cette hypothèse d’une corrélation négative entre le cours du bitcoin et le prix du dollar.
Le trader Crypto Ed prévoyait également une hausse, avec un bitcoin montant vers les 41 500 $, alors que le prix du bitcoin se négociait encore sous les 40 000 $. Une telle hausse serait cependant « toujours considérée comme un rebond correctif ».
Mais que se passerait-il en cas d’une énième perte des 40 000 $ ? Le trader Rekt Capital a partagé un graphique hebdomadaire du prix du bitcoin, pour montrer que l’ancienne résistance au-dessus des 38 000 $ « devient un nouveau support hebdomadaire ».
Bitcoin pourrait donc continuer sur le très court terme, sa course aux 41 500 $ ou revenir sous les 40 000 $, avec un support relativement solide aux 38 000 $. Les marchés ont-ils finalement tort de craindre cette inéluctable rechute vers les plus bas de l’année ?