Guides crypto
Tombé dans le domaine des cryptomonnaies durant l’été 2017, je m’intéresse particulièrement aux projets novateurs et aux relations dans la communauté. Chasseur de scam à mes heures perdues, vous pouvez me retrouver tous les matins dans notre newsletter !
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Un long post publié sur le blog officiel de la fondation Cardano évoque les ambitions de la société concernant le développement à venir du continent africain.
Selon John O’ Connor – Directeur des opérations africaines de la fondation – l’Afrique pourrait largement bénéficier de l’implémentation de blockchains, et plus largement des possibilités qu’offrent le réseau Cardano.
Le continent souffre en effet d’énormément de problèmes administratifs, notamment concernant les registres fonciers qui sont encore archaïques. Pour O’Connor, Cardano pourrait catalyser le développement de l’Afrique, mais cela ne se fera pas sans un effort coordonné avec les gouvernements en places.
« C’est une grande ambition qui ne sera pas accomplie en un jour. Nous atteindrons le succès seulement si les autorités publiques investissent dans la création d’un environnement réglementaire pour mener à bien ces tests. » John O’Connor
La première étape pour garantir d’un succès à venir sera de former des développeurs à Haskell, le langage utilisé pour programmer les projets fonctionnant via Cardano. Pour ce faire, la fondation est en partenariat avec deux universités (l’une grecque, l’autre barbadienne) et dispense des cours gratuits et sans engagements.
« La formation est gratuite, sans engagement et dispensée par des universitaires de premier plan dans le domaine. Nous avons embauché 70% des étudiants qui se sont lancés dans ce programme, et la plupart des autres poursuivent leurs études. L’éducation ne doit pas priver un pays de ses meilleurs éléments, ainsi, les emplois offerts sont locaux, ce qui permet aux recrues de contribuer à un projet global depuis leur propre pays. » John O’Connor
O’Connor conclut son message en annonçant que la première formation gratuite basée en Afrique (plus précisément Ethiopie) verrait le jour dans l’année, et qu’il attendait donc une « première vague de développeurs africains » prête à contribuer au code de Cardano d’ici la fin d’année.
Charles Hoskinson – CEO de Cardano – à la London School of Econoomics.