Le géant Japonais du divertissement Toho rejoint le web3 avec Ternoa
Ternoa et Toho, la blockchain au service de l’art – La Tōhō est sans conteste l’un des 3 plus grands studios japonais de production audiovisuelle, à l’origine par exemple de Godzilla, et de tous ses dérivés. Il vient de choisir Ternoa comme partenaire dans le cadre du lancement d’une nouvelle licence. Et le studio japonais compte également utiliser la technologie blockchain pour protéger sa propriété intellectuelle et s’ôter un “Kaijū” de sa chaussure.
Le Journal du Coin vous propose cet article promotionnel en collaboration avec Ternoa.
Blockchain et cinéma, Un choix évident pour Toho et Ternoa
Cela pourrait paraître etrange, mais le choix d’un acteur français s’inscrit dans le cadre d’un lien culturel et économique fort. En effet, la France est le deuxième plus grand pays du monde (derrière le Japon lui-même) consommateur de mangas, d’animés et de jeux-vidéos japonais. Au point qu’en 2022, un quart des livres vendus en France étaient des mangas.
Il était donc logique pour la Tōhō de chercher un allié Français qui soit en mesure de proposer une technologie pour assurer l’accompagnement de nouvelles licences comme la protection de celles déjà en place.
Car le développement de l’intelligence artificielle fait craindre aux studios d’animation un dévoiement de certaines de leurs créations. Une conséquence néfaste que l’utilisation d’une technologie basée sur la blockchain pourrait permettre d’éviter. En effet, un registre décentralisé permet d’authentifier et d’auditer de manière transparente les œuvres présentes sur Internet afin que ni le public ni les ayants droits ne soient lésés.
En se basant sur Ternoa et sa communauté engagée de plus de 200 000 membres et un écosystème fort de plus de 50 projets en activité, la Tōhō noue un partenariat qui a du sens.
Pour ne rien gâcher, Ternoa est en passe de devenir un Layer 2 d’Ethereum. Une nouvelle étape qui va sensiblement augmenter la visibilité dont bénéficie ce beau projet.
Ternoa, l’évolution en marche
La société française offre des solutions faciles d’accès permettant aux marques ou aux créateurs de contenus d’utiliser simplement les propriétés de la blockchain dans leur produit. Sous forme de SDK javascript d’abord, et de smart-contracts depuis peu.
En effet, cette pépite française est en plein développement, et les nouveautés s’enchaînent. Le 29 janvier, l’équipe a annoncé le déploiement des smarts contracts sur son mainnet. Ce faisant, elle ouvre ses portes à la DeFi, la rendant accessible sur son réseau. Une étape importante et cohérente avec le déploiement de Ternoa en tant que solution de seconde couche (L2) sur Ethereum qui offre aussi plusieurs intérêts. Par exemple, la compatibilité EVM (Ethereum Virtual Machine). Ou encore l’accès au plus vaste écosystème de développeurs DeFi pour définir de nouveaux cas d’usage.
Mais la blockchain peut également servir à sécuriser certains secteurs face aux dérives du monde numérique et de l’avènement de l’IA. C’est là qu’entre en scène la Tōhō.
La Tōhō, studio légendaire, fait appel à Ternoa
Ce nom ne parlera peut-être pas à tout le monde, sauf si vous êtes un fervent amateur d’animés. Cette société a pourtant marqué de nombreuses enfances occidentales à travers la diffusion de shows aujourd’hui légendaires !
Pour le résumer simplement, la Tōhō est un véritable empire audiovisuel au sein de l’empire nippon. Deuxième plus grand studio de production cinématographique du japon, l’entreprise est intrinsèquement liée à la culture japonaise. Créé en 1932 par un ancien directeur de théâtres japonais traditionnels, le studio a rapidement souhaité se développer à l’international. Ce qu’il a réussi avec brio.
La Tōhō a porté des licences fortes connues à travers le monde entier. Celles-ci ont également été reconnues comme des œuvres majeures en France. Nonobstant une certaine défiance du pouvoir politique et médiatique que l’engouement du public a rapidement balayé.
Blockchain et mangas, même combat ?
En ce sens, les cryptos et l’animation japonaise (ainsi que les jeux-vidéo) sont des secteurs qui ont tous dû affronter un certain mépris à leurs débuts et nous ne pouvons que souhaiter que les actifs numériques connaissent un développement semblable à celui des œuvres japonaises sur notre territoire.
Mais le public français aime la nouveauté et a rapidement compris l’intérêt culturel des mangas comme Mainnet Ternoa, terre promise de la technologie NFT – Journal du Coin Rappelons que Dragon Ball Z sera culte chez nous bien avant que sa diffusion ne commence à intéresser le public américain (et ce n’est qu’un exemple parmi d’autres).
La Tōhō a également distribué les films de Akira Kurosawa, le maître cinéaste japonais mondialement connu, ainsi que d’autres films d’un petit studio indépendant que vous connaissez peut être : Ghibli. Mais la licence la plus connue de la firme reste sans aucun doute Godzilla, véritable phénomène culturel dans le monde entier.
Une nouvelle licence ambitieuse
La Tōhō est reconnue pour produire du divertissement mais n’hésite pas à accompagner des œuvres qui abordent des thèmes matures ou difficiles. Ainsi le récent « Your Name » évoquait déjà des thèmes délicats, l’impression de ne jamais être à sa place, la course au bonheur pour peut-être ne jamais le trouver où la peur de rater la chance de sa vie.
La prochaine licence du studio, Mofu Mofu Music Caravan (MMMC) racontera l’histoire des membres d’un groupe de musique qui tentent de vivre de leur passion dans une société dystopique où écrire de la musique est interdit. Ici encore, il n’est pas difficile de faire le parallèle avec le web3 et le désir de liberté de notre écosystème qui fait face à une régulation et à un désir de réglementation de plus en plus strict.
Cette nouvelle licence sera donc l’occasion pour la Toho d’infuser une véritable dimension web3 au cœur des réflexions sur notre société et nos libertés, sujets privilégiés de ses réalisations. Mofu Mofu Music Caravan est pensé pour repousser les limites du divertissement en fusionnant personnages forts, musique et technologie. En s’associant, les deux sociétés vont pouvoir utiliser les NFT, la blockchain et le web3 pour protéger la propriété intellectuelle des licences portées par la Tōhō. Mais surtout elles comptent bien proposer aux spectateurs une puissance narrative inédite en s’appuyant sur la blockchain. Et cette histoire disruptive et passionnante s’écrit aujourd’hui sous nos yeux.