« Ethereum 2.0 ne permettra pas l’adoption de masse » : Radix bien décidé à gagner la bataille de la DeFi
La création d’une plateforme pouvant démocratiser l’accès à la finance décentralisée n’est pas chose aisée. Entre problèmes de scalabilité, sécurisation des applications décentralisées, interopérabilité défaillante et attraction d’une communauté de développeurs volage. Les problématiques sont multiples et souvent conflictuelles.
L’équipe de Radix a décidé de prendre la situation en main, et propose l’intronisation d’un écosystème entier, promettant de résoudre une à une les difficultés inhérentes à la DeFi.
27,000 personnes ont déjà prononcé leur intérêt dans l’acquisition des tokens Radix. La vente est officiellement lancée depuis hier, 18h UTC.
Ce contenu sponsorisé vous est proposé en collaboration avec Radix.
DeFi et ses problématiques
Alors que la plupart des projets liés à la finance décentralisée ont vécu un réel cauchemar en ce début de mois. Le passé tumultueux du marché des cryptomonnaies prouve à quel point l’industrie est résiliente. Il suffira d’une étincelle pour faire revivre un écosystème tout entier. Radix en sera t-il l’instigateur?
Alors que la version 2.0 d’Ethereum se fait toujours attendre, la folie spéculatrice ayant accompagnée le mouvement DeFi a mis en exergue les limites du protocole de Vitalik Buterin. Après avoir atteint des pics de frais de transaction avoisinant les 100$, Ethereum n’est clairement pas prêt à accueillir une manne conséquente d’utilisateurs.
Selon l’équipe de Radix, la solution « sharding » qui sera introduite par l’intermédiaire d’Ethereum 2.0 est insuffisante pour combler les besoins de la DeFi.
« Cette solution ne permet pas l’adoption de masse. Elle détruit tout simplement la composabilité des applications, enjeu crucial de la finance décentralisée »
Afin de démocratiser l’accès à la DeFi, l’équipe de Radix soulève plusieurs axes de travaux prioritaires:
- Une sécurité optimale. La finance décentralisée doit permettre à ses utilisateurs une garantie optimale quant à la sécurité de leurs liquidités. Ils ne peuvent pas être soumis au manque de vigilance des développeurs.
- Des transactions rapides et peu coûteuses. Les frais de transaction dépassant les 30 euros doivent appartenir au passé. Une solution efficace doit être mise en œuvre pour éviter la congestion du réseau, et rendre possible l’adoption de masse.
- Scalabilité et composabilité optimale. Les applications DeFi doivent pouvoir fonctionner de paire. La technologie « sharding » est donc à proscrire, sous peine de compromission de la composabilité.
- De meilleurs systèmes incitatifs pour les développeurs. La DeFi ne peut se limiter aux grands projets. Les développeurs indépendants doivent pouvoir y trouver leur place. Le système incitatif a besoin d’être repensé, afin d’attirer les nouveaux acteurs du développement.
Une solution nommée Radix
Après 7 années de recherches, l’équipe de Radix propose une combinaison de technologies ayant pour but de solutionner les problématiques précédemment évoquées.
Le cœur du projet repose sur le « Consensus Layer » nommé « Cerberus ». Le concept de « scalabilité linéaire » est le maître mot derrière cette innovation. Elle rend possible la mise à l’échelle d’un registre public au travers de plusieurs milliers de nœuds, pouvant contenter un nombre infini d’utilisateurs. Alors que la solution de « sharding » qui verra le jour au sein d’Ethereum 2.0 implique pour l’équipe de Radix : « un manque de connivence entre les différents shards« . L’intégration d’une technologie « cross-shard Atomic composability » permettra aux dApps une interopérabilité sans friction.
Le « Radix Engine v2 » est la deuxième solution technique proposée par l’équipe de Radix. Elle consiste en un outil de programmation jouant le rôle d’« application layer ». Les développeurs pourront créer des applications complexes, tout en limitant le risque de bugs et hacks. Une librairie de code open source leur sera mis à disposition, vulgarisant l’essentiel des composants nécessaires à la construction d’applications DeFi.
Cette librairie se verra constamment étoffée grâce à un mécanisme financier incitatif. Les développeurs proposant des évolutions ainsi que l’intégration de code seront récompensés par un système de « royalties ».
La combinaison entre « Cerberus » et « Radix Engine v2 » est supposée garantir l’obtention de transactions sécurisées, rapides, et peu coûteuses. Les applications décentralisées pourront enfin jouir d’une scalabilité digne de ce nom, et interagir sans friction.
L’ICO a débuté le 8 octobre à 18.00h UTC, et se clôtura lorsque l’intégralité des jetons seront vendus. Une date de vente limite a tout de même était fixée au 10 novembre 2020.
642 millions de tokens seront disponibles à l’achat, avec une valeur unitaire de 0,039$. L’achat pourra être réalisé en USDC ou ETH, sous réserve d’un investissement minimum de 5000$. Les tokens sont uniquement disponibles via le portail Radix, où un KYC devra être effectué.