Un Flow sans précèdent : les chiffres clés et démentiels du nouveau roi des NFT !

Quatre articles n’étaient pas de trop pour cerner l’ampleur du projet Flow. Afin de conclure cette campagne informative, il semblait pertinent d’allier chiffres clés et insolites.

Si l’épopée cryptographique commence par des 0 et des 1, en fin de compte « tout bonheur matériel repose sur des chiffres » (Honoré de Balzac). Cette science mathématique doit bien receler un sens profond. A nous de tenter de la décrypter afin de mieux appréhender le projet NFT phare du moment.

Cet article promotionnel vous est proposé en collaboration avec Dapper Labs.

Retour sur les dates clés

  • 2017 : En novembre, le jeu Cryptokitties connait un engouement important, et les transactions liées à son écosystème utilisent jusqu’à 12% de la capacité de trafic d’Ethereum, qui se retrouve totalement congestionné. Les prix du gas explosent, et Dapper Labs qui édite le jeu comprend que la blockchain adaptée à leurs ambitions reste à créer. Elle s’appellera Flow.
Les Cryptokitties : ces chats numériques ont amorcé le développement du marché des digital goods, grâce à l’invention des NFT.
  • 2019 : Naissance de Spock, et celui-ci ne descend pas de la planète Vulcain avec ses oreilles pointues. Les Specialized Proofs of Confidential Knowledge (SpoCKs) sont un nouvel avatar cryptographique inventé par Dapper Labs. Ceux-ci permettent de résoudre le dilemme du vérificateur en demandant aux nœuds d’exécution et de vérification de «montrer leur travail». Pour être payés, ces nœuds doivent fournir un SPoCK prouvant l’accès à des connaissances confidentielles qui ne peuvent être obtenues qu’en exécutant toutes les transactions qui leurs sont attribués. Ces preuves n’étant pas interactives, la confidentialité des smart contracts reste préservée.
  • 2021 L’année du premier listing sur la plateforme d’échange Kraken. Avec Binance et Coinbase comme partenaires du projet, d’autres devraient suivre.

Mais encore ? A travers cette séquence numérique, il apparait clairement que Flow est une blockchain à part. Plus qu’humaine, elle semble presque humaniste. Elle porte gravée au cœur de son code les qualités qui sont partagées par l’ensemble de ses acteurs : solidarité, bienveillance, ouverture et liberté.

Elle érige la recherche de la performance en vertue cardinale au service de sa communauté, pour que tous ensemble, nous puissions l’utiliser pour faire face aux nombreux défis de cette nouvelle année, et bien plus encore. La partie ne fait que commencer !

https://www.youtube.com/watch?v=0KwE4yQUg6U&feature=emb_logo&ab_channel=JournalduCoin

L’argent et l’humain

  • 600 Ethereums : c’est le prix auquel, en 2017, s’est vendu Dragon, le Cryptokitty le plus cher de l’histoire. Inutile de préciser qu’une plateforme dédiée aux NFT et aux applications décentralisées était devenue essentielle.
  • 0,1$ : prix unique du token à l’ICO publique : le même prix qui a été réservé aux investisseurs professionnels lors des ventes privées. Quelle importance ? Ce procédé est une profession de foi ! Nous sommes en présence d’authentiques idéalistes qui ne comptent pas spéculer sur le FOMO ou céder au chant des baleines. Professionnels comme particuliers, tous furent logés à la même enseigne, faisant primer l’intérêt supérieur du groupe.
  • 1 FLOW minimum : afin d’inciter à soutenir la sécurité du réseau et la stabilité du prix, il est facile de staker et d’être récompensé, dès le premier FLOW. Encore une fois, l’accent est mis sur la cohésion de la communauté, personne n’est laissé au bord du chemin !

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  • 1000$ : c’est le montant maximum de tokens que l’on pouvait acheter à l’occasion de l’ICO pour privilégier l’adoption de masse. L’accent est encore mis sur la construction d’une véritable famille Flow, soudée et investie plutôt que d’un petit groupe de riches opportunistes prêts à dump leurs bags à tout moment.

A partir de là, les chiffres s’envolent : nouveau record du volume journalier pour NBA Top shot : Plus de 450,000$ de NFT échangés sur la blockchain. 100 millions de tokens vendus lors de la community sale, 10 000 acheteurs, environ 300 millions de tokens en circulation la première année (estimation pouvant fluctuer selon l’inflation), uniquement issus des récompenses de staking (les jetons achetés lors des préventes sont bloqués 1 an).

En prime ? Un modèle déflationniste cher à nos cœurs de holders …

Taillé pour la performance

  • 2 types de frais : ils sont nécessaires pour contrôler l’inflation et maintenir un bon niveau de rémunération des validateurs. Comme d’habitude, les frais de traitement concernent la validation et la gestion des transactions standard soumises au réseau. L’innovation réside dans les frais de calculs. Les plus grands besoins en ressource engendreront d’autres frais, plus importants. Cela concerne les opérations complexes, telles que l’exécution de smart contracts.
  • 3 le Trilemme de Vitalik : ce paradoxe scalabilité – décentralisation – sécurité empoisonne la vie des développeurs. Lorsque tous les nœuds ont le même rôle, impossible de ne pas transiger sur au moins un point. Mais Flow distribue cette problématique sur des types de nœuds différents. Selon sa fonction, chaque nœud sera sensible à un aspect du trilemme, mais sera extrêmement performant sur les 2 autres. En se soutenant mutuellement, chaque faiblesse particulière sera totalement compensée par la résilience de l’ensemble.
  • 4 catégories de nœuds distincts exécutant une tâche unique pour gagner en performance, coût et sécurité:
  1. Le nœud de consensus hiérarchise les ordres des transactions. Sécurité et décentralisation sont accrues au détriment d’une scalabilité réduite, sans conséquence car, les besoins en ressources de calcul sont faibles.
  2. Le nœud d’exécution des transactions est très scalable pour satisfaire les besoins de puissance et de vitesse, mais perd en décentralisation.
  3. Le nœud de vérification est très sûr et décentralisée, il vérifie le nœud d’exécution et garantit sa sécurité.
  4. Le nœud de collecte améliore la connectivité du réseau et l’accès aux données pour les dApps.
Flow - architecture
Architecture du protocole Flow
  • 6,46 mots/secondes : c’est le record du Flow le plus rapide détenu par Eminem au guiness book ! La blockchain Flow produit elle aussi des performances étonnantes, en recyclant une architecture pipeline très utilisée dans la fabrication de CPU, produisant le débit nécessaire à des millions d’utilisations en simultanée, et qui permet d’éviter le sharding et ses problématiques. 
  • 20 ingénieurs à plein temps : mobilisés pendant 2 ans pour développer cette blockchain, ils ont créé de toutes pièces un protocole de référence, qui se verra adoubé par des partenaires aussi prestigieux que : Ubisoft, Animoca Brands, l’UFC, la NBA, Samsung et Warner Music Group.
  • 721 (ERC) : le format de token inventé par l’equipe Dapper Labs, les NFT (Non fungible token). Il permet de spécifier l’unicité de chaque jeton par une tâche, une valeur ou une caractéristique. Il en devient potentiellement un objet de collection.

Pour aller plus loin dans la découverte du futur protocole clé du phénomène NFT, Sami vous propose une vidéo complète retraçant sa plongée dans le protocole Flow, en y creusant les moindres détails.

https://www.youtube.com/watch?v=Uwxtu_xrtQQ&feature=emb_logo&ab_channel=JournalduCoin

Nos articles précédents sur le sujet:

  1. Introduction générale de Flow
  2. Flow et ses Tokenomics
  3. Flow et le marché des NFT

Florent C

Père de famille de 49 ans tombé dans le bain crypto en 2017, je suis un passionné de la technologie blockchain, disruptive, libre et décentralisée. J'aime particulièrement apprendre, comprendre et expliquer tous les projets qui permettront à terme d’améliorer nos quotidiens. J’apprécie aussi de commenter à chaud les news de tous les acteurs du cryptogame.