Après Bitcoin, la DeFi est dans leur collimateur – Pourquoi la folie institutionnelle pourrait profiter à Ethereum
Ethereum, toujours en mouvement – Le prince des cryptomonnaies se développe à un rythme soutenu, notamment grâce à la croissance de la DeFi. Le passage à Ethereum 2.0 pourrait également provoquer un choc d’offre… et voir arriver de nouveaux acteurs, avides de se positionner sur ce crypto-segment.
Ethereum, un actif sous-évalué ?
La croissance d’Ethereum ne s’arrête plus, mais pas seulement en termes de prix. Avec 1 000 milliards de dollars de transactions sur sa blockchain en 2020, les records n’arrêtent pas de tomber en ce moment.
Il existe par ailleurs une demande croissante émanant des développeurs. Eh, oui ! La blockchain Ethereum est la plateforme privilégiée pour mettre au point de nouvelles technologies décentralisées. La rapidité des transactions et le coût peu élevé en sont les principales raisons.
Le lancement prochain d’Ethereum 2.0 contribue à l’effervescence ambiante.
Le boom de la DeFi
En 2019, la valeur totale bloquée dans les applications DeFi sur Ethereum avait triplé, passant de 190 millions de dollars en décembre 2018 à 610 millions en décembre 2019. Aujourd’hui, elle vaudrait 26,5 milliards de dollars, selon DeFi Pulse.
Cette croissance pourrait s’expliquer par l’arrivée massive d’institutionnels, qui cherchent à dénicher des taux de rendement toujours plus intéressants. Nul doute donc que 2021 promet davantage de (bonnes) surprises.
Pour toutes ces raisons, Ethereum est bien parti pour connaître une année 2021 d’anthologie… et, à terme, devenir une cryptomonnaie prisée des fameux « zinzins », à l’image du Bitcoin ?