C’est une IA qui le dit ! – Aurions-nous trouvé la réponse à : pourquoi donc les banquiers centraux détestent autant Bitcoin (BTC) ? En tout cas, d’après la nouvelle intelligence artificielle (IA) appelée ChatGPT, le roi des cryptomonnaies décentralisées aurait la capacité de mettre au chômage les grands argentiers des banques centrales.
Une IA qui nous aide à nous passer des banquiers ?
Ces dernières semaines, il aurait été difficile de passer à côté du véritable buzz qu’a créé la nouvelle intelligence artificielle imaginée par les chercheurs d’OpenAI. Cette forme révolutionnaire d’intellect purement numérique, ChatGPT, est capable de répondre de façon très détaillée à des questions complexes.
De l’écriture de codes informatiques à la rédaction d’articles, de livres ou même de scénarios de films… Rien ne semble hors de portée de ChatGPT. Le fan de Bitcoin @Parman_Public sur Twitter, s’est amusé à questionner l’IA sur l’économie monétaire. Notamment sur : comment en finir avec les interventions des banques centrales ? L’intelligence artificielle propose 4 voies possibles :
« 1. L’éducation et la sensibilisation : une sensibilisation accrue du public et une meilleure compréhension du rôle de la banque centrale dans l’économie, ainsi que de ses effets négatifs potentiels, pourraient conduire à une pression accrue sur les gouvernements et les institutions pour réformer ou abolir la banque centrale.
2. Une action/volonté politique (…) ;
3. Des alternatives : le développement et la promotion de systèmes économiques alternatifs, tels que les monnaies locales, les banques communautaires et les monnaies numériques décentralisées, pourraient réduire le besoin de banques centrales et éloigner le pouvoir des banques centrales.
4. Un effondrement économique : une crise économique grave qui entraînerait une perte de confiance dans les banques centrales et les institutions financières traditionnelles pourrait conduire à un abandon de la banque centrale. »
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ChatGPT conclut que Bitcoin est la solution contre les banques centrales
Les monnaies numériques décentralisées font donc déjà partie des solutions proposées concernant les banques centrales. Mais Parman pousse l’IA plus loin, et lui demande : comment en finir avec les monnaies fiduciaires (fiat) ? De nouveau, 4 voies sont proposées par ChatGPT :
- Le « retour à un standard or », comme avant la décision unilatérale du président américain Nixon de stopper la convertibilité fixe du dollar avec l’or, le 15 août 1971 ;
- De « promouvoir les monnaies alternatives, comme Bitcoin, qui sont décentralisées et non contrôlées par un gouvernement ou une autorité centrale (…) » ;
- De « réduire les dépenses publiques » (ndlr : bonne chance pour y arriver !) ;
- Et enfin de « changer la perception du public », en encourageant les citoyens à considérer la monnaie fiduciaire comme une « solution temporaire » (ndlr : qui n’a déjà que bien trop durée ?).
En revenant plus précisément sur la deuxième solution ci-dessus, concernant l’adoption des cryptomonnaies, Parman demande à ChatGPT « une seule » crypto qui rendrait cela possible, car elle serait « la seule à ne pas avoir d’émetteur ». Toutes les autres auraient une « équipe dirigeante active » et seraient donc « centralisées », selon Parman.
Confrontée à cette question, l’IA ChatGPT réalise donc un unique choix : « Bitcoin » !
On comprend mieux pourquoi les banquiers centraux ont peur pour leur privilège de battre monnaie. Dénigrer Bitcoin leur permet de protéger leur précieuse monnaie fiduciaire, basée sur la seule confiance en l’État émetteur. En revanche, une expérience similaire avec ChatGPT concernant le jeton XRP de Ripple avait conclu que ce dernier n’était pas assez décentralisé.
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