Procès contre Craig Wright : florilège des âneries du célèbre Faketoshi
CSW, le clown pas drôle. Depuis la première fois qu’il a prétendu être Satoshi Nakamoto en 2016, Craig S. Wright (CSW) n’a toujours apporté aucune preuve. Par contre, sa liste de documents falsifiés est longue comme le bras. Dans son dernier procès qui l’oppose à la COPA (Crypto Open Patent Alliance), depuis le 5 février dernier, Craig Wright a déjà eu l’occasion de montrer toute sa mauvaise foi, ainsi que sa capacité à mentir comme un arracheur de dents.
Nouveaux éléments apportés par Craig Wright : encore une vaste blague
Avant même le début du procès, la justice britannique a demandé à la défense de préparer et d’amener des preuves tangibles sur l’auto-proclamation de Craig Wright à être le créateur de Bitcoin (BTC) : Satoshi Nakamoto.
Et… Comment dire… Le pauvre juge James Mellor, qui instruit ce procès, a rapidement dû déchanter en découvrant la personnalité du plus tristement célèbre des Faketoshi. Ainsi, comme le rapporte le crypto-média CoinDesk dans une sorte de « best of » résumant les pires âneries de notre faux Satoshi :
« Le jour de l’ouverture du procès, le juge Mellor a reconnu les allégations de falsification de documents et a déclaré à M. Wright qu’il « devrait s’estimer extrêmement chanceux » de pouvoir plaider sa cause, compte tenu des circonstances. (…) Lorsque le juge Mellor lui a demandé mercredi de produire ne serait-ce qu’un seul document relatif aux premiers jours de Bitcoin qui ne présente pas de signes de falsification, M. Wright a répondu que ces documents ne seraient pas disponibles. [ndlr : ils avaient piscine ?] »
Source : CoinDesk
Faketoshi, bardé de « diplômes » mais incapable d’une simple opération informatique
Quand il n’est pas dans son rôle favori de harceleur judiciaire, mais sur la défensive, Craig Wright est soudainement beaucoup plus silencieux. Même s’il ne peut s’empêcher ses sempiternels accès de colère.
Celui qui se prétend être le génial cryptographe et informaticien codeur de Bitcoin s’est encore fait rabattre le caquet par l’avocat de la COPA Alexander Gunning KC. Ce dernier a posé à CSW une question extrêmement simple pour un vrai développeur informatique. Mais notre Faketoshi a été incapable de répondre.
Ainsi, les « entiers non signés » (Unsigned Integer) ont achevé toute crédibilité de programmeur à Craig Wright, car il n’a pas su les expliquer alors « qu’un étudiant en informatique de premier semestre devrait être en mesure de l’expliquer. ». Surtout que Michael Parenti précise sur le réseau X que « la fonction des entiers non signés était utilisée plus de 500 fois dans le code source original de Bitcoin »… Juste 500 fois !
« (…) Wright a échoué à plusieurs reprises à expliquer les aspects fondamentaux des techniques cryptographiques au cœur de l’invention de Satoshi. Il n’a même pas pu expliquer ce que signifiait une variable C++ « non signée », un concept informatique que tout vrai programmeur apprendrait dès le premier jour. »
Ce cirque juridique pourrait encore durer jusqu’à la mi-mars. Si Craig Wright enchaînait déjà les défaites judiciaires, il faut espérer que ce dernier procès mené par la COPA mette enfin à l’abri les vrais développeurs de Bitcoin contre les harcèlements procéduriers de ce triste sire.