Le chanteur Akon en mode Monopoly – Une deuxième Crypto City prévue en Ouganda
La folie des grandeurs ? – Comme si le projet de construction d’une crypto-cité au Sénégal ne suffisait pas, l’artiste Akon envisage déjà d’en construire une deuxième, en Ouganda cette fois. Bien sûr, son projet de cryptomonnaie « Akoin » serait la monnaie d’échange au sein de ces cités futuristes.
Akon City II, le retour de la crypto-ville
Selon un tweet de l’une des principales chaîne de télévision de l’Ouganda (NBS), qui a réalisé une interview avec le chanteur américain d’origine sénégalaise Akon :
« Akon a révélé son intention de bâtir une ville futuriste en Ouganda, baptisée Akon City (…) »
Toujours d’après le même média , le gouvernement aurait également confirmé l’allocation d’un terrain de 2,6 km2 pour accueillir ce projet pharaonique, dont l’achèvement est envisagé à l’horizon 2036. Ce serait donc la deuxième « Akon City », puisque le premier projet de crypto-ville de l’artiste au Sénégal porte exactement le même nom.
Les 2 villes futuristes seront censées utiliser la cryptomonnaie Akoin (AKN) – également créé par la star – comme monnaie officielle. Leur objectif reste commun : attirer davantage d’investissements dans le pays et créer des emplois locaux.
D’après une réponse d’Akon citée par le média Coin Telegraph, le financement de ce beau projet n’est, par contre, pas très clair :
« Je sais que si je mets cette cité ici, ils [les Ougandais] vont trouver un moyen de faciliter cette construction, parce que cela va les motiver (…) lorsque vous créez une opportunité, les gens se renseignent sur cette opportunité, et les gens sont motivés par cette opportunité. »
Passé le côté mégalo de tout appeler « Akon » ou « Akoin », ces projets sont très beaux sur le papier, surtout en termes de développement pour ces 2 pays d’Afrique. Il n’y a plus qu’à espérer qu’ils se concrétisent pour le bien de tous.
Rémy R.
Issu d’une formation universitaire en Sciences, je m’intéresse aux blockchains et à Bitcoin depuis 2013 et en ai même miné à l’époque. La bulle qui s'en est suivie m'en a détourné, mais je m'y suis replongé depuis 2017 et les étudie depuis avec passion.
