Un trésor perdu de presque 3 milliards de $ en Bitcoin : Faketoshi persiste mais ne signe pas
Bitcoin contre-attaque le faux Satoshi. Bien qu’il n’ait apporté aucune preuve concrète à ses prétentions d’être Satoshi Nakamoto (fondateur de Bitcoin), le tristement célèbre Faketoshi Craig S. Wright (CSW) continue de harceler juridiquement les développeurs BTC. Mais désormais, le Bitcoin Legal Defense Fund ne compte plus laisser ce procédurier continuer impunément ces menaces juridiques.
Des années de mensonges de Craig Wright : « ça suffit ! »
Le fonds de défense juridique des développeurs de Bitcoin (BTC), appelé Bitcoin Legal Defense Fund (BLDF), a été initié par Jack Dorsey (fondateur de Twitter) en janvier 2022. Il vise donc à payer les éventuels frais de justice des développeurs de la cryptomonnaie de Satoshi Nakamoto, pour que ceux-ci puissent travailler sereinement.
Du moins, sans craindre les harceleurs juridiques comme Craig Wright. Ainsi, ce 21 août 2023, le BLDF vient de répondre devant la Haute Cour du Royaume-Uni que la plainte de CSW est tout bonnement « frauduleuse ».
En effet, via son ancienne société Tulip Trading, Craig Wright quémande 111 000 BTC (2,89 milliards de dollars au cours actuel) qui lui appartiendraient, et nécessiteraient de casser toute crédibilité à Bitcoin pour les lui récupérer. Un tel tripatouillage causerait pour ainsi dire la Mort du plus vénérable des réseaux blockchains, dont CSW prétend pourtant être le créateur !
Le Bitcoin Legal Defense Fund veut mettre fin à « la fraude » du Faketoshi CSW
Sans un article d’analyse détaillé et extrêmement long, il serait difficile de dire ici tous les arguments que le BLDF énumère à l’encontre de Craig Wright. Toutefois, mentionnons au moins le chapitre intitulé à juste titre « Historique de la Fraude » par les défenseurs du seul vrai Bitcoin (BTC donc).
Le fonds de défense juridique nous rappelle ainsi les innombrables mensonges et falsifications commis par Craig Wright, dont certains ont même été publiquement dénoncés par des juges !
« (…) Craig Wright a un long passé documenté de fraudes, de falsifications et de recours à des preuves délibérément fausses dans des procédures juridiques et réglementaires. Que ce soit dans cette juridiction (Royaume-Uni), en Australie, aux États-Unis ou encore en Norvège. (…) Plusieurs juges, qui ont supervisé des procès intentés précédemment par Craig Wright, reconnaissent qu’il a « menti et triché dans sa tentative de prouver qu’il est Satoshi Nakamoto », qu’il a « fourni des preuves délibérément fausses », qu’il a « délibérément créé des documents frauduleux », et bien d’autres choses encore. »
Et ce n’est là qu’un bien court extrait illustrant les affabulations du plus tristement connu des Faketoshis. De plus, quand il perd ses procès, Craig Wright est du genre mauvais payeur. En effet, il a traîné des pieds pour indemniser Hodlonaut (de son vrai nom Magnus Granath). Cela, après que la juge Helen Engebrigtsen, en charge de l’affaire, a pourtant statué clairement qu’affirmer que CSW est un « fraudeur, menteur et arnaqueur » n’était pas de l’ordre de la diffamation. Et quand on voit son « Historique de la Fraude » mentionné ci-dessus, on la comprend !
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