Artrade : Démocratiser le marché de l’art à l’aide des Real World Assets (RWA)
Relai de communiqué de presse. Les avancées techniques rendues possibles par la technologie blockchain bouleversent notre relation au monde. L’une d’entre elles concerne plus précisément la tokenisation des actifs du monde réel, plus connue sous le terme de Real World Assets (RWA). Une option sollicitée par le projet Artrade (ATR) afin de lancer une nouvelle fonctionnalité du nom de « Fragments. »
Artrade : rendre l’investissement dans l’art plus facile que jamais
Difficile de passer à côté de la révolution promise par le principe de tokenisation rendu possible à l’aide de la technologie blockchain. En effet, les cas d’usage sont innombrables, de la finance traditionnelle à l’amélioration du système monétaire actuel.
Mais c’est plus précisément à un marché de l’Art réputé « coûteux et élitiste » que le projet Artrade souhaite appliquer cette révolution des Real World Assets (RWA). Cela du haut de son statut de jeune entreprise innovante de R&D (JEI) française, financée en 2021 à l’aide d’une ICO de jetons ATR.
Au programme ? Le lancement de la fonctionnalité « Fragments. » Cette dernière destinée à rendre plus accessibles les œuvres de grands maîtres comme Monet, Picasso, Warhol, Banksy en bien d’autres. Le tout à l’aide d’un chef-d’œuvre physique lié à un jeton émis sur la blockchain Solana.
« Artrade est ravi d’annoncer le prochain lancement de sa nouvelle fonctionnalité « Fragments » : un chef-d’œuvre physique Real World Asset (RWA) lié à un token sur Solana. Après la prévente, il sera accessible en un clic comme n’importe quel autre token sur un DEX. Rendre l’investissement dans l’art du monde réel plus facile que jamais. »
Artrade
Artrade invente le « Real Artwork Token »
Dans les faits, cette fonctionnalité « Fragments » permet de négocier des fractions de chef-d’œuvre inaccessibles pour le commun des mortels. Avec un choix assumé de la part du projet Artrade de se tourner vers des « valorisations fiables et en augmentation rapide. » C’est-à-dire les artistes importants du secteur.
C’est la raison pour laquelle la première pièce inaugurale de ce lancement est un dessin du légendaire Pablo Picasso. Une œuvre présentée comme intime, estimée à 200 000$. La prévente officielle sera ouverte en parallèle de l’évènement Non Fungible Conférence (NFC) de Lisbonne qui se déroule actuellement du 28 au 30 mai.
« L’ambition d’Artrade n’est pas seulement de revendre les œuvres d’art sur le marché traditionnel pour faire gagner de l’argent à ses détenteurs. Mais aussi de créer la première cotation en temps réel d’un jeton d’œuvre d’art, et de le laisser croître de lui-même en valeur sur le marché décentralisé du Web 3. »
Artrade
Un « Real Artwork Token » qui se veut une première du genre. Car, selon le fondateur d’Artrade, Paul Weibel : « les actifs du monde réel on-chain démocratiseront enfin l’investissement dans les chefs-d’œuvre historiques de l’art. » Avec comme principal avantage mis en avant, un jeton totalement liquide qui peut être échangé à tout moment, contrairement à un NFT classique.
Les amateurs d’art contemporain seront curieux, tout comme les investisseurs, curieux, eux aussi, de s’inscrire dans ce qui pourrait être une révolution du marché de l’art en temps réel à l’aide des Real World Assets (RWA).