Formation à la technologie blockchain par Alyra : Une interview à la hauteur des enjeux
Alyra, l’école de la blockchain – Nous parlons régulièrement d’Alyra, le premier organisme français qui propose des formations certifiantes autour de la technologie blockchain et de toutes ses opportunités de carrière. Articulée autour de divers modules, accompagnée de nombreux professionnels du secteur, la formation est plébiscitée par les entreprises qui sont en manque d’une main d’œuvre compétente et passionnée. Aujourd’hui nous accueillons Daniel Villa Monteiro, directeur pédagogique, afin de mieux comprendre les enjeux auxquels Alyra s’est donné pour mission de répondre.
Le Journal du Coin vous propose cet article promotionnel en collaboration avec Alyra.
Vous cherchez à travailler dans la tech ? Vous êtes à la bonne adresse !
Pouvez-vous nous présenter brièvement Alyra, l’école blockchain ?
Alyra est un organisme de formation proposant plusieurs parcours de formation. L’objectif est de permettre à nos apprenants de se mettre à jour avec des cours et des interventions en ligne réalisés après les heures de travail.
Et votre rôle de directeur pédagogique ?
En tant que directeur pédagogique, j’encadre l’intervention des différents formateurs, la tenue des plannings, la mise en place des soutenances et des projets de fin de cursus. J’ai aussi un rôle important sur la conformité de l’école en tant qu’organisme de formation. J’orchestre le suivi pédagogique, et j’ai le plaisir d’animer un Talk chaque lundi soir avec des acteurs de l’écosystème.
La blockchain est une technologie en constante évolution
Quelles sont, selon vous, les principales raisons qui poussent les professionnels à se former à la blockchain en 2023 ?
Le besoin immédiat ou la prévoyance. De nombreux profils techniques veulent profiter des nouvelles possibilités offertes par ces technologies ou simplement compléter leur panel technologique. Par ailleurs, de très nombreux profils non-techniques réalisent, à raison, que les nouveaux projets du Web3 ont un besoin criant de compétence « traditionnelle » (Marketing, Juridique, Gestion de projet, Stratégie, etc…). Nos formations leur servent à acquérir les clefs de lectures suffisantes et nécessaires afin d’adapter leur savoir-faire à ces nouveaux usages.
En tant que directeur pédagogique, comment adaptez-vous les programmes d’Alyra pour répondre aux besoins changeants de l’industrie de la blockchain et aux attentes des professionnels ?
C’est un travail de veille permanent. Il faut être à l’affût des nouveaux changements, mais surtout faire la séparation entre les fondations solides et les effets de mode. Hors de question que nos apprenants perdent des semaines de formation pour une technologie sans avenir. Par chance, l’écosystème regorge d’opportunités sérieuses sur lequel nous basons nos programmes.
Les principaux débouchés pour les certifications d’Alyra en 2023
Pouvez-vous nous donner quelques exemples de carrières possibles dans le domaine de la blockchain ?
Les débouchés sont en fait assez variés. Les compétences recherchées par les entreprises de l’écosystème sont très larges. Evidemment, les compétences blockchain sont centrales. Les entreprises veulent des gens qui comprennent l’écosystème dans lequel ils vont être amenés à évoluer professionnellement. C’est essentiel, mais ce n’est hélas pas suffisant.
Une entreprise recrute un chargé de marketing pour ses compétences en marketing. Même si celles-ci seront appliquées au secteur de la blockchain, c’est le marketing qui reste le cœur du poste à pourvoir, et il faut donc des gens qui savent faire. De plus, dans cet exemple précis, la personne doit aussi avoir des compétences managériales. On a souvent l’image trompeuse d’un secteur d’activité très technique, avec uniquement des geeks, des passionnés d’informatique, des développeurs, des ingénieurs.
La blockchain reste évidemment un secteur « Tech ». Mais bien d’autres compétences sont absolument essentielles et nécessaires pour qu’un projet réussisse, ou qu’une entreprise fonctionne. D’autre part, cela dépend aussi énormément du passé professionnel des gens. Leur bagage compte autant que leurs compétences en blockchain, pour les raisons que je viens d’expliquer.
Comment les entreprises et les organisations perçoivent-elles l’importance de la formation à la blockchain en 2023 ? Ont-elles des attentes spécifiques ?
C’est ce cocktail, qui va être propre à chacun et chacune. Chaque profil va déterminer l’employabilité des candidats et les débouchés/voies possibles. Les attentes des entreprises dépendent de leurs besoins. Pour certains postes, elles demanderont un niveau certifié, soit en matière de connaissances, soit en matière d’expérience professionnelle dans le domaine souhaité (communication, marketing, vente, etc…), voire les deux.
Mais pour tout un tas d’autres postes, elles savent qu’elles auront à recruter des profils « juniors » en matière d’expérience professionnelle liée à la blockchain (parce que c’est la réalité de la très grande majorité des candidats). Elles sont d’ailleurs tout à fait prêtes à former des gens en interne si nécessaire, et à s’adapter aux contraintes personnelles, notamment grâce au télétravail.
Il faut savoir que ce modèle de fonctionnement est très naturel et répandu dans cet écosystème. Ce n’est pas du tout une adaptation à un contexte particulier ni une exception, loin de là. Des gens ayant une bonne compréhension de l’écosystème à côté d’autres compétences plus classiques intéressent d’office les grands acteurs de l’écosystème. Il n’est pas vraiment nécessaire d’être spécialisé sur un aspect spécifique (comme la finance décentralisée, par exemple) pour réussir dans ce monde-là.
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On peut bien entendu se spécialiser par la suite, c’est même vivement conseillé ! Mais il faut avoir à l’esprit, encore une fois, qu’il n’y a pas assez de monde sur ce marché du travail pour répondre à la demande des entreprises. Elles doivent donc s’adapter, notamment en ne cherchant pas le mouton à cinq pattes.
L’étude de KPMG et de l’ADAN de 2022 sur l’écosystème français le montre bien. 83% des entreprises interrogées avaient indiqué des difficultés à recruter, citant le manque de candidats en cause principale. Elles perçoivent donc parfaitement l’importance de la formation. Cela permet d’alimenter le marché du travail en profils pertinents, compétents, qui savent de quoi ils parlent et qu’elles pourront recruter par la suite.
Prêt à faire le premier pas ?
Pourriez-vous nous donner quelques conseils pour les personnes qui envisagent de se former à la blockchain en 2023 ?
De se donner le temps ! Affronter un nouveau paradigme n’est pas chose aisée. Il faut du temps, de l’énergie et une sacrée détermination pour compléter une vie professionnelle et familiale riche tout en embrassant pleinement l’un des parcours de formation d’Alyra. Durant 3 mois, vous allez changer votre manière de voir le monde et acquérir de nouveaux outils. Mais pas seulement ! En effet, un projet est réalisé en équipe afin d’être validé par des professionnels reconnus. Un subtile mélange de théorie et de pratique intensive est nécessaire. Mais la satisfaction est à la hauteur de l’épreuve et j’ai à cœur de changer la vie de nos apprenants avant tout.
Quelles sont selon vous les qualités nécessaires pour réussir dans ce domaine ?
La curiosité et une bonne dose de passion. Il n’est pas encore simple socialement d’avouer faire de la blockchain dans tous les milieux. En revanche, la satisfaction de faire partie des pionniers est incomparable. Il faut avoir de l’énergie à revendre et une bonne dose d’ouverture d’esprit car cela nécessaire une fois correctement formé.
Quelle est la valeur ajoutée d’une formation spécifique à la blockchain comme celle proposée par Alyra, par rapport à une formation plus généraliste en informatique ou en finance ?
Avoir un coup d’avance est préférable à avoir un coup de retard. Les technologies du Web3 ne sont qu’un prolongement logique des anciennes méthodes. Les plus grandes universités américaines sont actuellement en train d’adapter leur programme, elles ne font jamais ce genre de choses à la légère. De même pour la finance, le marketing, le juridique, savoir prendre en main les nouveaux paradigmes du numérique est aujourd’hui une bonne initiative. Demain cela sera une nécessité, après-demain une obligation.
Enfin, quelles sont les prochaines grandes dates pour Alyra ?
Fin des admissions le 3 mai pour notre prochaine session Buterin qui effectuera sa journée de rentrée le mardi 9 mai
Ta citation pour conclure ?
Elle n’est pas de moi :
« Aimez vos problèmes avant vos solutions ! »
Il est très facile de proposer des solutions blockchains pour tout et rien. Comme pour tout outil, il y a des cas d’usages pertinents et d’autres moins. Il faut donc avoir à cœur de résoudre de vrais besoins sans quoi votre projet risque de mourir avant même de naître.
Alyra est aujourd’hui la référence en matière de formations blockchain et crypto en France. Un outil primordial pour que les entreprises puissent mener à bien les projets ambitieux imaginés autour de cette technologie blockchain novatrice et disruptive. Une opportunité professionnelle concrète pour ceux qui croient à l’avènement d’un système global décentralisé et sécurisé. Et si vous n’en êtes pas encore totalement convaincu, n’hésitez pas à revoir ce cryptovision pour encore plus d’informations
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