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Lors du piratage de la plateforme de change Coincheck, l’équivalent de $530 millions en NEM avaient été dérobés par des pirates informatiques, mettant en lumière l’amateurisme de leurs procédés de sécurisation des fonds.
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La Financial Service Authority, quant à elle, n’est pas laxiste : un mois après avoir annoncé une série d’investigations auprès des plateformes de change de cryptomonnaies japonaises, l’autorité régulatrice a annoncé la suspension des activités pour celles qui ne possèdent pas de licence en règle avec le Payment Services Act.
D’après Reuters, le régulateur a également imposé à toutes les plateformes d’améliorer grandement leur niveau global de cyber-sécurité, et particulièrement la gestion des crypto-monnaies stockées à froid (les NEM dérobés à Coincheck étaient conservés dans un wallet basique). La FSA supervisera également le processus de remboursement des fonds des utilisateurs de Coincheck.
Afin d’améliorer les systèmes de sécurisation des crypto-actifs détenus par les plateformes japonaises et protéger leurs utilisateurs, la FSA pourrait être aiguillée par la Japan Cryptocurrency Business Association et la Japan Blockchain Association, qui travaillent ensemble sur un cadre spécifique.