Christine Lagarde l’encourage : il lève 140 millions € et lance l’euro numérique
Serait-ce l’enjeu économique majeur du XXIème siècle ? – Après les avancées fulgurantes de l’Empire chinois dans la mise en place de la DC/EP, projet de monnaie numérique étatique, les réactions européennes tardent à se manifester. Christine Lagarde annonce en personne que le salut du vieux continent viendra par l’intermédiaire d’initiatives privées.
Cet article promotionnel a été écrit en collaboration avec Piotr Perchaluk, CEO de Eccu.
La sphère privée à la rescousse
Bien trop occupée à dessiner les contours d’un nouveau plan de relance économique, l’Union Européenne semble avoir mis provisoirement de côté le dossier brûlant d’une nouvelle cryptomonnaie numérique. Les enjeux sont pourtant majeurs : éviter à la population du vieux continent la relégation à l’âge de pierre, mais aussi le maintien d’un semblant d’influence face aux géants chinois et américains.
Cette atonie a le don d’irriter. La Chine et son pouvoir central avancent à grandes enjambées dans la mise en place de la DC/EP. L’Occident, quant à lui, souhaite s’en remettre aux initiatives privées, qui se voient adoubées par Christine Lagarde en personne :
« Le spectre d’une initiative de la BCE [Banque Centrale Européenne] ne doit en rien décourager les solutions de la sphère privée, qui viseraient à créer des outils pour des transactions plus rapides et efficaces au sein de la zone euro. »
C’est donc dans une confession à peine voilée, lors d’une interview pour le magazine Challenge, que la dirigeante de la BCE lance un appel du pied à tous projets susceptibles d’améliorer les infrastructures numériques européennes.
Le message n’est pas tombé dans l’oreille d’un sourd. Piotr Perchaluk, serial entrepreneur français, lance la charge dans une initiative qui risque de sérieusement faire bouger les lignes.
Les prémices d’un projet titanesque
Auteur d’une levée de fonds colossale de 140 millions d’euros, le CEO de Kointo propose sa propre version d’une monnaie numérique européenne, d’ores et déjà disponible sur la plateforme d’échange Waves. Naturellement adossée à la valeur de l’euro et ayant pour but de faciliter les transactions entre individus, elle offre un pont d’or aux investisseurs crypto-européens.
Surnommée Eccu, les origines du projet s’inspirent de la naissance de l’euro et de son ancêtre, l’ECU. Cette nouvelle monnaie se positionne comme la plus grosse capitalisation de marché pour un stablecoin européen. Mieux encore, elle viendrait directement concurrencer les poids lourds du secteur, en se glissant à la septième place mondiale des stablecoins.
Concurrent direct de Binance et HUSD, Eccu écrase au passage son principal rival européen Statis Euro. D’origine maltaise, il fait désormais pâle figure du haut de ses 37 millions de dollars de capitalisation.
Sur fond de patriotisme, la société Kointo et ses 3 hommes forts, Piotr Perchaluk, Stéphane Amrane et Theo Hudry, jouent la carte de la transparence. Au sein d’une structure 100 % française, ils se plient aux obstacles législatifs, mais jouissent d’une crédibilité sans égal, dans un monde où les paradis fiscaux ont aspiré la plupart des initiatives prometteuses.
Encore au stade embryonnaire, le projet Eccu sera le centre névralgique d’un écosystème entier. Il permettra, via une application novatrice, une fluidité d’échange sans pareil pour ses utilisateurs européens. Déjà disponible sur Apple et Google Store, la découverte de cette alternative est désormais à portée de main.