Bitcoin, catastrophe énergétique ou révolution industrielle ?
Vous vous souvenez, il y a quelques semaines j’ai sorti une vidéo dans laquelle je vous parlais des marchés auxquels Bitcoin s’attaque frontalement. À ce moment-là, j’ai évoqué rapidement le marché de l’énergie.
Ce sujet méritait une vidéo à part entière et vous allez le voir, c’est un sujet vraiment passionnant.
Dans cette vidéo, on va s’engouffrer dans une galerie relativement peu explorée du terrier de lapin du Bitcoin, à savoir l’industrie du minage et son rapport avec l’énergie, la vraie, celle qui soutient et développe notre civilisation.
Avant d’entrer dans le vif du sujet, je tenais à remercier Feel Mining qui sponsorise cette vidéo. Feel Mining est une société française qui propose plusieurs solutions pour miner du bitcoin notamment via la vente et l’hébergement d’ASICS. Ils ont ouvert une toute nouvelle ferme de minage aux Émirats Arabes Unis alimentée par de l’énergie solaire et vous allez voir que ça colle parfaitement avec notre sujet. Je vous en reparle plus en détail à la fin de cette vidéo. On est parti.
Le Journal du Coin vous propose cet article promotionnel en collaboration avec Feel Mining.
Bitcoin, un danger pour la planète ?
Très souvent, le discours dans les médias traditionnels est le même. Le Bitcoin pollue, c’est une aberration écologique, ça consomme plus qu’un pays entier, ça va faire bouillir nos océans… Bref, les attaques envers l’invention de Satoshi Nakamoto ne manquent pas quand il s’agit de parler d’énergie et d’environnement.
Posons un peu les choses à plat, et pour ça, on va partir de la base. Vous n’êtes pas sans savoir que Bitcoin fonctionne sur un algorithme en preuve de travail, c’est-à-dire qui nécessite que des mineurs engagent de grosses quantités d’électricité pour que la blockchain avance.
Et, c’est exactement là où ça coince. Bitcoin consomme de l’électricité et on a souvent cette image biaisée de l’électricité comme étant une ressource rare, que l’on doit économiser à tout prix, et j’en passe.
Alors oui… mais non. Pour comprendre, il faut un peu parler du fonctionnement du marché de l’électricité, qui relève à la fois d’enjeux économiques, sociaux, et politiques.
Dites vous bien une chose, c’est que l’électricité est simplement un déplacement d’électrons. Dans les grandes lignes, ce n’est pas une ressource au sens où on pourrait l’entendre pour le pétrole ou le gaz par exemple.
A l’échelle d’un pays, la production d’électricité se fait sur la base de ce qu’on appelle un mix énergétique. Ce mix est composé d’énergies non-renouvelables comme le pétrole et le gaz et d’énergies renouvelables comme le photovoltaïque, l’éolien, ou bien l’hydraulique, entre autres.
En France, voilà à quoi ça ressemble.
Et oui, quasiment 70 % de l’énergie provient de notre grand parc nucléaire, fruit du désir de souveraineté énergétique de la France porté entre autres par le Général De Gaulles dans les années 60.
Mais il faut bien se dire que dans d’autres pays, ça n’a pas du tout cette tête-là. En Allemagne, par exemple, littéralement nos voisins, ça ressemble à ça, quasiment 30% de charbon.
Bref, on produit de l’électricité, et il faut bien la consommer. Et oui, quelque chose que les gens oublient souvent quand on parle d’électricité, c’est que ça se stocke très mal. Et quand je dis très mal, c’est vraiment pour ne pas dire que ça ne se stocke pas tout court.
Et les batteries alors ? Ça coûte excessivement cher, ça pollue, il y a des pertes… Les batteries c’est bien, mais à grande échelle, ce n’est pas envisageable.
A grande échelle justement, tout l’enjeu, c’est de faire correspondre l’offre et la demande, et surtout, d’éviter au maximum les coupures d’électricité. Pourquoi éviter les coupures ? Je ne vais pas rentrer dans les détails techniques, retenez simplement qu’un réseau déséquilibré, c’est un réseau qui a tendance à tomber en panne.
Et c’est entre autres pour ça que le marché de l’électricité s’organise majoritairement, au moins en Europe, comme un marché spot, c’est-à-dire un marché de court terme.
Cela permet aux acteurs d’ajuster leurs positions en temps réel, en fonction de l’heure de la journée ou de la météo par exemple.
Et oui, la demande en électricité sera différente entre un dimanche froid et pluvieux et un lundi chaud et ensoleillé, déjà par les besoins domestiques, mais aussi par rapport aux rythmes de vie des populations.
Le marché doit sans arrêt faire la balance entre des dynamiques de marché, c’est-à dire d’offres et de demande, mais aussi des dynamiques réglementaires. Par exemple, dans les années 90-2000, la priorité était donnée à l’intégration de ce nouveau marché et, donc au court-termisme et à la compétition.
Mais depuis 2010, les considérations ont changé et en France, par exemple, on essaye de plus en plus de l’intégrer dans des logiques européennes qui cochent le cahier des charges du développement durable et mettent l’accent sur la limitation du réchauffement climatique.
Et ça, c’est des considérations long-termistes qui ne sont plus trop en phase avec notre vision court-termiste du marché de l’électricité.
Venons-en finalement aux mineurs de bitcoin, car au fond, c’est ça qui nous intéresse.
Le minage de bitcoin
Vous avez sans doute déjà entendu parler du minage, mais est-ce que vous savez ce que c’est ?
Et bien, il s’agit d’une grande loterie où, toutes les 10 minutes environ, un grand nombre de personnes tentent de découvrir le ticket gagnant, c’est-à-dire la bonne combinaison pour miner le prochain bloc de la blockchain Bitcoin.
Plus vous avez de puissance de calcul, donc plus vous allouez de l’électricité au réseau, plus vous avez de chance de remporter le ticket de loterie.
L’algorithme de difficulté créé par Satoshi Nakamoto est là pour s’assurer qu’un ticket gagnant est bel et bien trouvé toutes les 10 minutes, indépendamment de la quantité d’électricité allouée au réseau Bitcoin.
Pour le dire autrement, chaque fois qu’une nouvelle personne se met à miner, le ticket gagnant est un peu plus compliqué à découvrir. L’inverse est vrai aussi, si des gens se mettent à débrancher, l’algorithme s’ajuste et il devient plus facile de gagner le jackpot.
Le minage s’est indéniablement industrialisé et, alors qu’au tout début de Bitcoin, on minait avec le processeur de son ordinateur, maintenant tous les mineurs qui ont réellement une chance de remporter le gros lot ont des machines spécialisées qu’on appelle des Asics.
En clair, c’est des gros calculateurs qui sont spécialisés dans le calcul et sont optimisés spécialement pour cette activité.
Ces mineurs ont plusieurs particularités. D’abord comme je l’ai dit, ils consomment de l’électricité, ça paraît trivial dit comme ça, mais ils ne le font pas comme tout le monde.
Ils consomment de l’électricité avec une flexibilité extrême, c’est-à-dire qu’ils peuvent éteindre ou allumer leurs machines à peu près quand ils veulent.
Ensuite, ils peuvent se déplacer vraiment très facilement, les ASICS peuvent être entreposés dans des conteneurs et en quelques jours, une ferme de minage peut s’implanter dans un autre endroit.
Enfin, ils consomment de l’électricité à tout moment, à toute heure, et c’est là le point fondamental du lien entre minage et énergie, mais gardez ça en tête, on va y revenir.
Les mineurs sont des industriels, et en tant que tels, ils doivent faire face à des coûts de fonctionnement. Des postes de dépenses pour un mineur, il n’y en a pas 50. Les principaux sont évidemment l’achat des machines et surtout le coût de l’électricité.
Et c’est cette dernière variable qui va être vraiment importante pour le mineur, le but étant de miner sur de l’électricité la moins chère possible.
Ben oui, vous vous doutez bien que si vous minez du bitcoin en achetant de l’électricité au prix fort, vous serez très vite en pertes, l’idée est donc de trouver l’électricité la plus compétitive.
Et où est ce qu’on trouve ça ? Principalement à deux endroits. Le premier, c’est dans les surplus dont je vous parlais au début de la vidéo.
Où trouver l’électricité pour le minage de Bitcoin ?
Vous vous doutez bien qu’il est très difficile d’estimer la quantité de ces surplus à l’échelle mondiale, notamment parce que ça dépend de chaque territoire, de ses infrastructures, et de sa politique énergétique.
Mais on a quelques exemples, comme au Québec où ces surplus ont été évalués à 32 térawatt-heure entre 2018 et 2019, grâce à leur immense parc hydroélectrique. Pour vous donner un ordre de grandeur, c’est plus de 10 % de la production totale de la région.
Ce n’est qu’un exemple parmi tant d’autres à travers le monde et c’est aussi le cas en Afrique par exemple où de nouvelles centrales hydroélectriques fleurissent et sont dimensionnées pour une demande et un réseau futur.
Au moment de sa construction, une centrale hydroélectrique pourra donc délivrer une quantité d’énergie importante avec une demande très faible, dans la mesure où les infrastructures et les réseaux n’existent pas encore dans ces parties du monde.
Et oui, ça paraît évident pour nous, en tant que français et européens disposant de toutes les infrastructures électriques, mais il existe beaucoup d’endroits sur terre où l’électricité n’arrive pas jusqu’aux populations.
Et là les mineurs de Bitcoin ne se gênent pas pour venir consommer cette électricité et la racheter au prix le plus bas, justement parce que pour un exploitant de centrale électrique, c’est mieux de vendre moins cher, que ne pas vendre du tout.
Et ça, ça permet justement le développement des infrastructures et c’est une véritable aubaine pour ces industriels de l’énergie.
Construire une centrale coûte cher, et construire le réseau qui permet d’amener l’électricité produite jusqu’aux populations aussi. Sans les mineurs, les centrales tourneraient à vide, faute de réseau de distribution, et construire les infrastructures prendrait des années.
A la place, les mineurs arrivent, et consomment l’électricité et permettent le financement de la centrale dans ses premières années d’exploitation. Alors on s’entend bien que pour le moment, ça relève plus de l’exception que de la norme, mais les choses changent, et ce modèle commence vraiment à émerger dans plusieurs parties du monde.
Bon et qu’on se le dise, aucune autre industrie au monde n’est capable de faire ce que font les mineurs.
On peut penser aux usines d’aluminium qui sont, comme le Bitcoin, de véritables bouffeurs d’électricité, mais déjà, la production d’aluminium pollue énormément, et ensuite, on ne parle absolument pas de la même flexibilité. On ne déplace pas une usine d’aluminium comme on déplace un mineur de bitcoins.
De même, ce genre d’usine nécessite du personnel, des infrastructures, une surveillance constante… Bref, ce n’est pas l’idéal.
Au-delà de sa capacité à financer les réseaux, on peut aussi parler du financement des énergies renouvelables.
Le financement des énergies renouvelables
Ces énergies vertes sont non pilotables, c’est-à-dire qu’on ne peut pas décider du moment où elles vont produire de l’énergie, et elles s’adaptent donc très mal à la demande.
Par contre, leur énergie coûte très peu cher, ben oui, que ce soit le déplacement de l’eau, le soleil ou le vent, pas besoin de les extraire du sous-sol pour les utiliser, ni même de les transporter.
Mais comme je l’expliquais, ces sources d’électricité sont instables et il n’est pas rare de se retrouver avec des surplus, à l’image d’hydro québec avec son hydroélectricité par exemple.
En temps normal, on se contente de délester l’électricité en question pour ne pas déséquilibrer le réseau, en gros on la gaspille. Vous savez comment ça se passe pour un barrage hydroélectrique ?
On appelle ça du pompage-turbinage, en clair, on consomme l’électricité en pompant de l’eau vers un réservoir plus élevé lorsqu’il y a un excédent d’énergie, puis on libère cette énergie en laissant l’eau redescendre à travers une turbine pour générer de l’électricité lorsque la demande est élevée.
Alors certes, ça marche et c’est une bonne stratégie pour rééquilibrer les réseaux électriques, mais à la place, ne pourrait-on pas vendre cette électricité à des mineurs de bitcoins ?
Les mineurs constituent une véritable béquille économique pour ces installations renouvelables qui, pour la première fois, ne dépendent plus uniquement du bon vouloir des politiques pour leur développement.
Les mineurs de Bitcoin sont un véritable OVNI dans la façon que l’on a de consommer de l’électricité. On a affaire à une industrie qui demande de l’électricité 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, et qui devrait continuer à le faire pour encore des dizaines d’années et le tout à n’importe quel endroit du monde, c’est vraiment unique.
En prime, ces mineurs sont extrêmement flexibles tant géographiquement que temporellement. Ils n’ont besoin de rien si ce n’est d’une connexion internet. Pas besoin d’autoroutes, pas besoin de centaines de personnes pour faire tourner et pour gérer la ferme de minage. C’est la seule industrie qui peut se permettre d’opérer au milieu de la jungle sans que ca ne soit un problème.
Ajoutons à cela que l’industrie du minage ne rejette aucun déchet nocif ou gaz à effet de serre pendant ses opérations. Il y a bien la question du recyclage des machines, mais c’est un autre sujet.
Et non seulement le minage ne rejette pas de CO2, mais ça va encore plus loin, il pourrait même aider à dépolluer la planète, restez avec moi, on va parler des torchères.
Lorsque vous exploitez des énergies fossiles comme le pétrole et le gaz, vous faites face à un problème de poids, la pollution. Le processus d’extraction de ces énergies fossiles entraîne le rejet de divers gazs à effet de serre. D’après l’université de Stanford, environ 80% de ces rejets sont constitués de méthane.
Pour rappel ou pour info, le méthane est un gaz qui possède un effet de serre plus de 80 fois supérieur à celui du dioxyde de carbone. Et ça, ça pose problème, donc les industriels du pétrole sont obligés de brûler ces déchets avant qu’ils ne soient rejetés dans l’atmosphère.
C’est ça qu’on appelle le torchage, on brûle ce méthane pour limiter au maximum les rejets. Pourquoi on ne l’utilise pas ? Vous avez sans doute en tête les images de ces puits de pétrole au fin fond du désert. Et oui, le problème c’est qu’il n’y a personne pour utiliser ce gaz à proximité, et le plus souvent, aucun transport ou stockage n’est rentable. La seule solution reste donc le torchage.
Et c’est là que les mineurs entrent en jeu. Depuis peu, des expérimentations ont lieu pour valoriser ce gaz et le vendre à des industriels du Bitcoin. On peut par exemple citer la société Crusoe Energy, qui propose un système réduisant les émissions de méthane dans l’atmosphère de près de 98%, pour le cas des torchères, tout en minant du Bitcoin.
Oui oui, vous avez bien entendu, le méthane n’est plus brûlé dans une torchère vétuste et peu contrôlée, mais dans une centrale propre et bien entretenue permettant à des mineurs de Bitcoin de miner pour pas cher, le tout en évitant un gros problème de pollution, pas mal non ?
On pourrait aller très loin en ce qui concerne le lien entre le minage de bitcoin et l’énergie car c’est un véritable terrier de lapin à part entière.
Les cas d’usage du minage sont vraiment multiples mais je ne résiste pas à l’envie de vous en montrer quelques-uns pour bien terminer cette vidéo.
Quand le minage de Bitcoin devient durable
On a par exemple ce SPA à Brooklyn aux États-Unis qui mine du bitcoin et chauffe ses bassins à l’aide de la chaleur que génèrent les machines. Ou encore l’histoire de ce Bitcoiner qui a construit une piscine entièrement chauffée avec des ASICS.
Je peux aussi vous parler de ces mineurs au Guatemala qui utilisent l’huile de cuisine usagée pour alimenter des ASICS. Faute de réutilisation, cette huile était au choix jetée dans la rue, ou bien dans les canalisations direction les eaux du lac local.
Enfin, on peut aussi parler de ces agriculteurs hollandais qui utilisent la chaleur des ASICS pour chauffer leurs serres et faire prospérer leurs cultures.
Et oui, vous l’aurez compris, les mineurs de Bitcoin ne sont pas que de formidables outils pour supporter les énergies renouvelables et rééquilibrer les réseaux, ce sont aussi des chauffages qui rapportent de l’argent, et ça ce n’est vraiment pas rien.
Que ce soit au niveau de ses intégrations aux réseaux électriques ou bien dans des cas d’usage plus exotiques, il est indéniable que le minage de bitcoin est vraiment une industrie à part.
Et certains commencent à le voir, à l’image de Kjell Inge Røkke, l’actionnaire majoritaire et chairman de Aker, une grosse société d’investissement industriel norvégienne spécialisée dans les énergies fossiles et renouvelables.
En 2021, il publiait une lettre annonçant aux actionnaires le souhait de l’entreprise de s’investir pleinement dans les activités qui tournent autour de Bitcoin, voyant le potentiel immense du minage pour son entreprise et son pays.
On peut aussi parler des fonds ESG, qui, en gros, sont des fonds d’investissement qui intègrent des critères environnementaux, sociaux et de gouvernance dans le processus de sélection des investissements.
Ces fonds représentent plus de 20 mille milliards d’actifs et c’est près de 30% de ces fonds qui ne trouvent tout simplement pas d’investissements. Le mining de Bitcoin pourrait répondre à ces critères et permettre de combler ce gap, au moins en partie.
Il est très probable qu’à l’avenir, tout ce qui tourne autour de cette nouvelle industrie ne cesse de se développer et qu’on voit de plus en plus d’acteurs entrer dans la course. Peut-être qu’un jour, les mineurs feront partie intégrante de la stratégie énergétique d’un pays et qu’on assistera à la prospérité de cette industrie d’un nouveau genre.
Feel Mining, le minage de Bitcoin à portée de clic
Maintenant que nous avons vu ensemble tous les enjeux qui se cachent derrière le mining, laissez-moi vous présenter l’offre de Feel Mining, le partenaire de cette vidéo. Feel Mining propose de nombreuses solutions dont la vente et l’hébergement d’ASICs pour miner vos propres bitcoins de manière très simple.
La société opère depuis 2018 avec 6 fermes de minage accueillant au total plus de 3500 machines à travers le monde : en Islande, en Norvège, au Canada, aux États-Unis et depuis peu aux Émirats arabes unis.
Feel Mining offre une solution clé en main, ils s’occupent de tout ! Vous achetez votre machine sur leur site internet feel-mining.com et ils gèrent son installation et son entretien.
Les machines actuellement en vente sur leur site sont destinées à être hébergées dans leur toute nouvelle ferme aux Emirats Arabes Unis alimentée par de l’énergie solaire.
Votre machine sera donc alimentée par de l’énergie verte à moins de 3 centimes d’euro du KWH, ce qui est un prix extrêmement compétitif sur le marché.
Vous ne payez aucun loyer, vous serez juste prélevés de 10 % sur vos bénéfices nets. En début de mois vous avez un rapport de production sur votre tableau de bord et vos bitcoins sont crédités directement sur votre balance feel mining. Vous pouvez ainsi les utiliser à votre guise, les convertir, les holder, les retirer bref ils sont à vous et disponibles.
Vous restez bien évidemment propriétaire de votre machine à vie et il est donc tout à fait possible de la récupérer pour miner par vos propres moyens si vous trouvez de l’électricité moins chère. ( mais ça sera compliqué à ce tarif ! )
Faites vite car les 500 Antminer S19 86T ont été vendus très rapidement. Heureusement le Whatsminer M30S 86T est lui encore disponible et sera branché en avril dans leur ferme aux Émirats Arabes Unis sur ce lien.
Feel Mining propose également de nombreux produits crypto et DeFi tels que de l’achat de crypto, un service de DCA, des services de paiements et des solutions d’épargne pour les particuliers mais également pour les entreprises.
Bref, ils ont des offres pour chaque profil en fonction de vos besoins. La société bénéficie d’un enregistrement PSAN auprès de l’AMF et est en cours de demande d’agrément.
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