Vaccination contre le COVID-19 et NFT, mais quel rapport ? L’étrange projet blockchain de VeChain (VET)
La COVID désormais traçable grâce aux NFT – L’Union européenne vient tout juste d’approuver l’utilisation d’un passeport sanitaire européen pour endiguer la pandémie de la COVID-19. Certains pays vont, quant à eux, plus loin en ayant recours à une blockchain pour stocker les informations des citoyens.
La vaccination Covid sur la blockchain
Le jeudi 1er juillet, les autorités de la république de Saint-Marin, un micro-État situé au nord de l’Italie, a annoncé l’adoption de la loi-décret 109 du 19 juin qui introduit le passeport vaccinal pour les 30 000 habitants de Saint-Marin.
Comme c’est le cas dans le cadre de l’UE, ce document contient le dossier médical relatif à la COVID-19 de chaque citoyen : vaccination, tests PCR et historique des contaminations passées.
Point surprenant : une partie de ce passeport est hébergée via une solution blockchain. En effet, le « San Marino Digital Covid Certificate » est composé de 2 QR codes :
- Un QR code aligné sur les exigences du passeport vaccinal européen ;
- Un QR code vérifiable dans le reste du monde, qui permet d’accéder à des certificats stockés sur une blockchain sous la forme d’un NFT.
VeChain à l’origine du projet
Sous le capot, le NFT qui contient le certificat d’un utilisateur donné est hébergé sur la blockchain publique VeChainThor. Le réseau a fait appel à DNV en tant de partenaire technique pour mettre la solution en place.
« L’utilisation de la technologie blockchain de VeChain et, en particulier des NFT, permet d’accroître la confiance dans l’authenticité des informations, réduisant ainsi le risque de contrefaçon. »
Renato Grottola, Directeur Mondial de la Croissance et de l’Innovation chez DNV
Côté sécurité, un système d’information national a été déployé pour délivrer et valider les certificats. L’ensemble du traitement des données personnelles de ce système suit la norme européenne RGPD. En outre, les données nécessaires à la vérification de l’authenticité sont sxemptes d’informations personnelles sur l’utilisateur.
Saint-Marin n’est pas la première destination au monde à expérimenter l’utilisation de la blockchain dans le cadre de la crise de la COVID-19. En effet, en mars dernier, l’Etat de New York avait déjà aussi testé une solution similaire.
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