Crypto et NFT au service du lien social : Enzym bouscule les codes
Levez les yeux de vos téléphones – Vous vous êtes nécessairement déjà fait la réflexion. Que ce soit en prenant les transports ou simplement en marchant dans la rue. De plus en plus de passants marchent le visage braqué sur leur téléphone, faisant fi de tout ce qui les entoure. Or, en faisant abstraction du monde réel, ils manquent de nombreuses opportunités de créer des liens. C’est de ce triste constat qu’est né Enzym, le réseau social décentralisé qui compte changer la manière de consommer du contenu.
Le Journal du Coin vous propose cet article promotionnel en collaboration avec Enzym.
Les interactions virtuelles ne sont pas satisfaisantes
L’utilisation des écrans (smartphone, pc, tablette) ne cesse de progresser. Et pourtant, les études le démontrent, nous sommes de plus en plus malheureux. Nous nous regardons sans nous voir, et nous nous frôlons sans plus nous rencontrer. Un problème social majeur auquel Yannick Barnel et Sylvain Duchesne ont voulu répondre dès 2017 en créant Enzym.
D’après de récents sondages, les utilisateurs de réseaux sociaux ne sont pas satisfaits de l’utilisation qu’ils font de ces plateformes. De la même manière, 75% des utilisateurs d’applications de rencontres préfèreraient trouver leur âme sœur dans la vraie vie plutôt que sur Internet.
Enzym, c’est le réseau social décentralisé qui utilise des éléments de gamification pour provoquer ces rencontres. Les utilisateurs tissent alors de vrais liens de qualité, peuvent devenir amis, sortir « dans la vraie vie » et se retrouver en dehors de la solitude des écrans.
Le jeu comme lien
Enzym est un réseau, mais c’est aussi un jeu. Concrètement, comment ça marche ?
Pour les fondateurs, l’objectif majeur était de se faire retrouver et interagir les joueurs « In Real Life » (IRL). Le jeu se déroulera donc toujours dans votre environnement physique proche. Enzym utilisera également un système de réputation qui permet de déterminer les profils avec lesquels vous êtes le plus susceptible de vous entendre. Cet indice de réputation sera calculé en fonction de votre historique de jeux et de votre taux de réponse à certains messages.
Vous ferez donc équipe avec des gens à proximité, et qui partagent à priori les mêmes centres d’interêts. Une méthode qui porte ses fruits puisque 62% des connexions se transforment en réelles amitiés.
Un modèle qui rencontre déjà le succès
Avant d’être un projet web3 (nous reviendrons sur cet aspect dans un instant), Enzym est donc un jeu web2 qui rencontre déjà un franc succès. L’application compte plus de 100 connexions par jour et plus de 20% de croissance par semaine. Sa recette est simple : miser sur le fun et l’authenticité.
A la manière d’un Party Game, l’application proposera bientôt des dizaines de mini-jeux et de challenges à accomplir entre amis. Une belle manière de créer du lien social et de faire rapidement tomber les masques. La communauté est pour le moment centrée sur Grenoble car c’est dans cette ville que toutes les fonctionnalités sont testées. C’est aussi là que se trouve le duo d’Ambassadeurs qui sollicitent les étudiants en mode « street marketing ». Pour le moment, les joueurs qui acceptent de participer gagnent des coupons cadeaux de 5€ valables chez nos partenaires mais aussi des token $ZYM, le carburant de l’application.
Et quoi de mieux pour ajouter à la réussite que de « gamifier » l’expérience en utilisant les technologies du Web3 ? Pas grand chose.
Allons-zym
Et c’est certainement la conclusion à laquelle l’équipe d’Enzym est également arrivée. Celle-ci vient d’obtenir le visa ICO de l’AMF l’autorisant à émettre son propre jeton et à récolter des fonds du public. Bien qu’aucune annonce n’ait été faite à ce sujet pour l’instant, il est probable qu’une ICO soit lancée dans les prochains mois.
Plus qu’une monnaie, un moyen de créer du lien social
Le jeton $ZYM sera lancé sur la blockchain Ethereum, il s’agira donc d’un jeton ERC-20. il servira de monnaie d’échange aux utilisateurs de l’application. Mais pas seulement.
Comme le jeu est ancré dans la « vraie vie », certains établissements (des bars ou des restaurants par exemple) pourront également acheter du token ZYM. Ils pourront ensuite inviter les joueurs d’Enzym à venir récupérer une partie de ses jetons au cours d’évènements qu’ils organiseront dans leurs locaux.
D’ailleurs, la société SELFBAR qui proposera plus de 10 000 fontaines à Bières et d’Eau partout en France à l’horizon 2024-25 s’est déjà engagée à accepter le ZYM comme moyen de paiement.
Des rencontres IRL certifiées par la blockchain
Lorsque deux joueurs se rencontrent dans la vraie vie, ils ont la possibilité de bloquer deux jetons pour les transformer ensuite en NFT (jeton ERC-721). Ce NFT viendra certifier la rencontre entre les deux joueurs et l’authenticité de leur connexion.
L’objectif d’Enzym est de s’ancrer le plus possible dans le local, au plus proche de ses utilisateurs. Afin de permettre à ces derniers de profiter des rencontres et des opportunités qui s’offrent à eux en dehors du monde numérique. A terme, l’application pourrait même fonctionner sans Internet afin d’aller au bout du message porté par l’équipe.
Une innovation Web3 : la « Socialchain Offline »
Sur le plan Web3, des innovations sont aussi attendues. En effet, l’application va selon toute vraisemblance permettre une première mondiale : la mise en œuvre de réseaux P2P de portables, locaux et autonomes puisqu’ils ne nécessitent pas d’accès constant à internet. Les avantages sont nombreux :
- Les interactions sociales, mais aussi les transferts de token $ZYM sont toujours possibles, même “offline”.
- Le déplacement des utilisateurs d’un réseau à un autre est aussi autorisé. Grâce à ces déplacements, plus de nœuds sont susceptibles de propager les transactions sur internet lorsque l’accès redeviendra possible.
- L’interconnexion des réseaux permet de valider les transactions pour les autres lorsqu’un nœud réussit à se connecter à internet
- Les nœuds qui propagent toutes ces données offline sur le net, et les utilisateurs qui s’en servent, sont récompensés.
On peut aussi ajouter que des applications tierces pourront aussi utiliser les services de la « Social chain » d’Enzym qui est un réseau ouvert et agnostique en terme de technologie et d’infrastructure Web3, et que les échanges seront cryptés pour préserver la confidentialité des données en circulation sur les réseaux.
Une équipe solide autour du projet
L’une des forces d’Enzym est sans aucun doute la qualité de son équipe et de ses conseils. Ainsi l’agence Marketing AGARTHA à Genève à pris les rênes de toute la partie Marketing Web3. Ses dirigeants deviennent naturellement les CMO et CSO du projet. Yannick Barnel quant à lui (co-fondateur du projet) s’est déjà illustré dans l’entreprenariat. Il est convaincu que la blockchain peut permettre de rapprocher les gens et de les aider à tisser des liens sociaux de qualité.
Du côté des conseillers, on notera (de manière non-exhaustive) la présence de Eric Burgel, président de B2Expand. Un spécialiste de la gamification. Céline Moille, Counselchez GoodWin et Hadrien Croubois (docteur en informatique à l’École Normale Supérieure de Lyon et Smart contracts engineer chez OpenZeppelin) sont également de la partie.
Des talents et des compétences complémentaires qui permettront à Enzym de tirer son épingle du jeu et, espérons-le, de permettre à des millions de joueurs de se reconnecter avec la réalité ! Si vous souhaitez la rencontrer, l’équipe sera présente à la Paris Blockchain Week (PBW) et au GECK de Genève. De bonnes occasions de continuer à tisser du lien !
En parlant de social, n’hésitez pas à vous inscrire sur le compte Twitter/X du projet ainsi que de discuter avec la communauté au sein du Discord officiel.