La police néozélandaise autorise Cryptopia à reprendre ses opérations

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C’est le 14 janvier dernier qu’est survenu le hack de Cryptopia, un exchange suffisamment important pour que cela fasse beaucoup de bruit au sein de la cryptosphère. La police néozélandaise aurait déjà donné son feu-vert pour que Cryptopia réouvre ses portes.

C’est le journal local The New Zealand Herald qui a révélé cette information émanant des autorités policières en charge du dossier : la direction de Cryptopia a obtenu le plein accès à ses installations et à ses locaux commerciaux, ce qui leur permettrait donc de reprendre leurs activités.

« Nous avons terminé l’essentiel du travail requis par le High Tech Crime Group dans les locaux commerciaux de Cryptopia, bien que du personnel du HTCG y reste pour finir certains aspects de leur travail » Greg Murton, inspecteur de police principal

Aucune précision n’a par contre été donnée sur les quantités et natures exactes des cryptomonnaies volées, même si l’on sait grâce au groupe Elementus qu’il s’agirait essentiellement d’éthers (ETH) et de tokens ERC20 du réseau Ethereum, pour un montant estimé de 16 millions de dollars.

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Adam Clark et Rob Dawson, les fondateurs de Cryptopia, ont été contactés par les journalistes néozélandais, mais ils n’ont pas fourni de calendrier pour la reprise d’activités de leur exchange. Pour le moment, le site internet de Cryptopia arbore toujours le même simple message d’excuse qu’au lendemain du piratage.

Rémy R.

Issu d’une formation universitaire en Sciences, je m’intéresse aux blockchains et à Bitcoin depuis 2013 et en ai même miné à l’époque. La bulle qui s'en est suivie m'en a détourné, mais je m'y suis replongé depuis 2017 et les étudie depuis avec passion.

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